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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Samedi 18 mars 6 18 /03 /Mars 05:41

De la part de Don B :

 

Chère Mme Sutton, voici un témoignage de ma première confrontation avec la réalité de la supériorité féminine, et comment cela m’a convaincu qu’aucun homme n’était capable d’y résister.

 

Il y a quelques années j’ai dû aller à l’hôpital pour un problème mineur de santé. L’opération elle-même fut parfaitement réussie, mais par contre je supportai mal l’anesthésie, et je dus garder la chambre quelques jours de plus que prévu. Pendant cette période j’eus tout le temps d’observer le service où je me trouvais ainsi que son organisation. Je remarquai notamment qu’une des infirmières semblait diriger tout ce petit monde. Bien qu’elle n’ait rien de remarquable en apparence, et qu’elle s’exprime d’une voix plutôt douce, c’était clairement elle qui était aux commandes, et non pas un des médecins plus âgés. Tout cela se faisait d’une manière subtile, et quand elle suggérait quelque chose (elle ne donnait jamais réellement d’ordre), c’était exécuté immédiatement. Même les médecins semblaient suivre ses indications et je remarquai qu’ils ne cherchaient pas à gérer les autres infirmières quand elle était là, c’était elle qui s’en chargeait.

Les suites de l’anesthésie m’avaient fait baisser ma pression sanguine, à tel point que je me sentais trop faible pour quitter le lit. On devait même me porter pour aller aux toilettes, mais mes intestins étaient devenus tellement paresseux que cela fut sans résultat. Au troisième jour, l’infirmière dont je parlais entra dans ma chambre et m’annonça qu’elle devait me faire un lavement.

J’étais un peu interloqué, et je commençai à refuser. Mais elle semblait habituée à ce genre de résistance, car elle souleva ma couverture sans la moindre hésitation et me demanda de me tourner sur le côté. Elle enfila ensuite un gant chirurgical, appliqua du lubrifiant sur son index en me conseillant de me calmer. J’étais trop stupéfait pour réagir, et je sentis son doigt s’introduire sans résistance dans mon intimité.

Ce fut quand elle retira son doigt qu’elle s’aperçut de l’effet que cela avait eu sur moi… « Petit garnement !  » dit-elle sans la moindre trace de gêne, et m’enfonça l’embout de l’appareil dans l’anus. Cela entraîna une réaction encore plus forte de ma part… Elle me laissa ensuite sans faire plus de commentaire, et durant le reste de la journée, à chaque fois que je croisais son regard je rougissais comme un écolier.

Elle revint dans la soirée. Elle ferma la porte derrière elle, s’approcha de moi et souleva ma couverture, comme pour vérifier l’état de mon ventre. Mais sa main ne resta que quelques instants à cet endroit, et descendit vite pour commencer à caresser mon sexe ! Cette fois j’étais réellement choqué et je serrai les jambes. « Reste tranquille, » dit-elle d’un ton sévère tout en agrippant mes testicules, et, croyez-le ou non, j’obéis en écartant à nouveau mes jambes.

Elle lâcha alors mes testicules et commença à caresser mon membre qui se mit à réagir immédiatement, et quand elle parut satisfaite de sa rigidité elle tira un gant chirurgical de sa poche et enfila sur mon sexe l’emplacement prévu pour le pouce, tel un préservatif ! Totalement abasourdi, j’étais incapable de prononcer le moindre mot quand elle se mit à cheval sur moi et guida mon membre viril en elle. J’étais en train de vivre une situation qui faisait probablement l’objet de phantasmes pour la plupart des hommes, mais qui à moi me semblait totalement absurde : une femme que je ne trouvais même pas attirante m’avait mis le pénis dans un gant afin qu’elle puisse en profiter à sa guise, le tout avec une totale autorité sur moi. C’était extrêmement déplaisant. Le préservatif improvisé tirait douloureusement sur mes poils pubiens, je ne savais pas combien de temps cela allait encore durer, et je sentis soudain monter dans mon ventre une envie pressante d’aller aux selles. Je me concentrai sur mon érection, pendant qu’elle continuait à onduler sur moi, à son rythme. Mais mes craintes de ne pas retenir mon envie de déféquer se révélèrent prématurées, car dans la minute qui suivit ses hanches commencèrent à s’agiter frénétiquement, puis elle s’arrêta et frémit au-dessus de moi.

Cela ne lui prit que quelques instants pour retrouver tout son calme. Elle se releva en m’enjambant, remit en place sa jupe et retira le gant (qui finalement n’avait pas été nécessaire) de mon pénis devenu flasque. Reprenant son rôle d’infirmière, elle remit la couverture en place et me souhaita bonne nuit. Elle me laissa ainsi dans un abîme de perplexité.

 

Comment cette infirmière a-t-elle pu avoir un tel pouvoir sur moi ? Qu’est-ce qui a fait que j’ai accepté de faire un acte aussi étrange, sans pouvoir résister ?

Le lendemain elle ne montra aucun signe pouvant rappeler ce qui venait de se passer, et le jour suivant je sortis de l’hôpital, car j’étais complètement rétabli. Je ne la revis jamais.

 

Aujourd’hui encore je suis stupéfait du pouvoir que cette infirmière a eu sur moi et je me demande si je comprendrai jamais comment tout cela a pu se passer. Le traitement spécial que cette infirmière m’a fait subir a laissé sur moi des traces indélébiles : même si je ne suis pas du tout attiré par ce genre de choses, à chaque fois que je vois une infirmière enfiler des gants, cela me fait immédiatement de l’effet.

 

Réponse d’Elise :

 

L’univers hospitalier est notoirement connu depuis longtemps pour fournir le cadre d’incidents sexuels comme celui que tu as vécu, en particulier lorsqu’un homme nu et vulnérable est confronté à l’attention et à l’autorité féminine. Cependant, ce type d’incidents est extrêmement rare de nos jours, car notre système de soins est soumis à un nombre incroyable de surveillances et de vérifications. Je ne mets pas en doute ceux comme toi qui témoignent de ce genre d’expériences, mais je demande parfois si ces évènements se sont réellement produits, ou bien si le patient n’a pas plutôt vécu une sorte de rêve phantasmatique sous l’influence des médicaments, ce qui pourrait être ton cas avec les suites de l’anesthésie.

Les infirmières sont souvent associées à l’idée de domination féminine, car ce sont des femmes représentant une autorité. Dans le cadre de l’hôpital, le patient se retrouve soumis à l’infirmière. Aussi masculin, macho et sûr de lui qu’il puisse être, le patient est souvent impuissant, vulnérable et sous l’autorité de l’infirmière. Des désirs et des fantasmes de femmes dominatrices peuvent naître et s’exacerber dans le psychisme masculin quand une infirmière utilise des aiguilles sur le patient, lui administre des lavements, exécute toute une variété de procédures douloureuses et inconfortables, et interagit avec lui alors qu’il est dans un état d’infériorité (nu sous un peignoir, contraint d’utiliser un pot de chambre, etc.)

 

Bien sûr, avec l’évolution de notre société nous voyons de plus en plus de femmes docteurs, et de plus en plus d’infirmiers, mais les infirmières représentent toujours une figure traditionnelle de l’autorité féminine auprès des hommes. Les infirmières font leur travail, tout simplement, mais la nature soumise de l’homme peut se réveiller et s’amplifier quand il se retrouve sans défense, à la merci d’une figure de l’autorité féminine. L’infirmière peut infliger de la douleur à son patient (même si c’est pour son bien) et une telle expérience est susceptible déclencher des désirs de soumission, qui ramènent au besoin primaire de l’homme d’être éduqué et puni par la femme. L’infirmière représente l’autorité féminine idéalisée, car elle apporte tout à la fois de la douleur et des soins.

 

Qu’importe si cette expérience sexuelle t’est vraiment arrivée ou bien est le produit de ta nature soumise exprimée sous l’influence de l’anesthésie, il n’en reste pas moins que tu as rencontré cette femme dominante, et que son pouvoir sur toi a eu un effet durable. Ce n’est pas la peine d’être perplexe face à cela, car le désir masculin d’une autorité féminine est classique et tout à fait naturel. Cette infirmière particulière a incarné pour toi à cet instant l’autorité féminine, et au fond de toi-même tu as toujours ce désir d’être soumis à une femme.

 
Bien amicalement.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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