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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Samedi 18 mars 6 18 /03 /Mars 12:38

Maîtresse E

Je crois en la VRAIE domination et suprématie féminine alors je ne laisse que rarement le monde « vanille » et les yeux du public interférer avec mon mode de vie. Bien sûr, il y a des situations où je ne peux le montrer, mais aussi souvent que je le peux j’entraîne et traite mes esclaves sans tenir compte de l’endroit où nous sommes. Il y a des façons de le faire sans que les autres sachent ce que nous faisons et il y a aussi des manières de faire si je désire que les autres le sachent. Par exemple, je demande toujours à mes esclaves d’ouvrir les portes pour moi, de porter mes sacs, de me présenter les sièges où je m’assieds, et de demander la permission avant de manger au restaurant ou avant de commander un café ou une boisson alcoolisée. Ce sont justes quelques petits trucs. Lisez donc les choses audacieuses que j’ai faites. 
- Dans les premières années de mes 20 ans j’ai giflé un esclave quand je me suis aperçu qu’il avait fait une copie d’une photo de moi à plusieurs reprises sans m’en parler avant de l’amener à développer. J’ai trouvé à ce moment là que je ne pourrais plus me passer de le gifler. Il était le première homme que je giflais (il devrait réaliser à présent quel honneur c’était). Je ne pouvais alors vraiment en profiter car j’étais trop folle de lui mais j’ai remarqué que, quelques jours plus tard, je l’aurais bien giflé de nouveau à la simple pensée de ce qu’il avait fait. La dernière fois que je l’ai fait, j’ai cassé ses lunettes. 
- A 25 ans, un de mes esclaves se comportait mal quand nous nous promenions dans un parc, alors je l’ai trainé vers un fourré. Alors que je le fessais avec une branche et qu’il était penché sur un tronc d’arbre, deux gardes à cheval sont arrivés pour nous regarder ou m’empêcher de continuer. Je ne les avais pas remarqués plus tôt, et je devine qu’ils nous ont vus. Mon esclave remonta son pantalon, se sentant plus qu’embarrassée. A ma grande surprise ils nous dirent juste quelques mots de remontrance et il continuèrent leur chemin. Cet esclave est le premier que j’aie marqué avec une marque de propriété. 
- L’été 1997, lors d’une soirée spéciale dans un bar, où il y avait une danseuse du ventre, j’ai ordonné à mon esclave de l’approcher et de lui demander de lui apprendre à danser. Il n’avait pas du tout envie mais il le fit puisque je lui avais demandé. Il amusa fort le patron avec ses tentatives maladroites.  
- Au camping j’ai attaché un de mes esclaves et lui ai mis du ruban adhésif sur la bouche afin que personne ne puisse l’entendre. Puis je l’ai torturé jusqu'à en avoir assez. Il devait ne faire aucun bruit de peur que quelqu’un vienne ou puisse nous entendre. Quel challenge amusant c’était ! J’ai essayé de le faire crier, mais il tint bon et je fus assez fier de lui.
 - Aux abords d’un lac public j’ai envoyé un bâton pour mon esclave chien dans l’eau plusieurs fois. Il devait nager, l’attraper dans sa bouche et me le rapporter alors que tout le monde regardait.  
- A l’arrière de la voiture qu’un de mes esclaves conduisait, j’ai ôté mes chaussures et les lui ai mises devant la bouche pour qu’il les lèche au feu rouge. Les gens avaient l’air de s’amuser.  
- Mon esclave poney me porta sur ses épaules sur la plage, et je l'obligeai à me porter jusque dans l’eau. Il devait continuer à le faire alors que sa tête était encore sous l’eau, puis il a dû attendre que je quitte doucement ses épaules et m’éloigne de lui, pour avoir le droit de remonter et respirer. (Un de mes jeux favoris). Bien sûr je prends tout mon temps à ces moments-là.  
- Au marché, j’ai ordonné à un de mes esclaves de se mettre a genoux et de m’embrasser les pieds. Nous étions en plein milieu du marché avec plein de gens autour. Il le fit sans se plaindre, et il prit même son temps pour le faire. (Quel bon esclave !). Cela choqua de manière amusante pas mal de gens un peu coincés (je suis certaine que je suis souvent le sujet de conversation lors de pas mal de dîners à présent). 
- J’ai ordonné à un de mes esclaves de m’accompagner dans les toilettes des dames. Il n’y avait personne, et je lui fis boire mon nectar doré dans une des cabines, et avant que nous en ayons fini, une dame entra. Nous avons retenu notre souffle de peur et avons attendu qu’elle se soulage dans la cabine d’à coté. Puis elle partit. Je suis curieuse de savoir si elle nous avait entendus.  
- J’ai monté mon esclave poney sur un chemin forestier puis je l’ai laissé s’enfoncer dans les bois, où il y avait pas mal d’arbres mort au sol. Je les lui ai fait sauter encore et encore et je le frappais sur ses fesses avec ma cravache à chaque fois qu’il passait à ma portée, et il a dû continuer jusqu'à ce que je lui dise d’arrêter. Il manquait d’entraînement ! Il avait l’air épuisé, mais il n’en est pas mort et heureusement, j’en ai encore besoin pour le monter à la maison.  
- J’ai amené un nouvel esclave dans un bar. Je portais ma jupe de cuir noire qui semblait attirer tous les mecs ce soir-là. Un homme m’invita à danser et il n’arrêta pas de me tripoter, alors je lui ai donné un léger coup dans les bourses devant tout le monde. Il a semblé aimer cela car il a continué son petit jeu. J'ai continué à lui donner des coups. Cela dura un certain temps. J’étais étonnée que personne ne nous sorte de la piste de danse, mais je fus plus étonnée encore quand le même homme m’invita à danser plusieurs fois plus tard dans la soirée. Un autre homme me bouscula alors que j’étais assise au bar et renversa un peu de sa boisson sur mes pieds et chaussures. Je lui jetai un coup d’œil méchant et il s’excusa immédiatement, très poliment en utilisant sa chemise pour essuyer mes chaussures et mes pieds. Ses amis se moquèrent de lui, mais le gars fit cela sérieusement et je fus très impressionnée (j’aurais dû prendre son numéro).  
- Durant l’été 2001 je fis l’honneur à un de mes esclaves de lui permettre de m’inviter et me faire assister à un concert. Je l'obligeai à me porter sur ses épaules pendant tout le spectacle et nous eûmes pas mal de regards. Même le groupe musical a fini par nous regarder. Ils ont fini par réaliser que nous avions quelque chose de différent. Cela a même inspiré d’autres couples, mais les autres hommes ne furent pas aussi endurants. Le regard un peu désappointé des femmes quand les hommes devaient les reposer au sol de fatigue avant de s’excuser... C’était bon d’être porté ainsi comme une Reine sur un trône et que cela se passe en public. Pas mal de femmes m’enviaient, et auraient bien aimé que leurs mecs fassent la même chose.  
- En novembre 2001, sur un trottoir d’un quartier résidentiel, un soir, j’ai ordonné à un de mes esclaves de se mettre à 4 pattes et de baiser mes bottes. Il savait qu’il n’avait pas le choix, mais il avait aussi peur d’être aperçu, alors il jeta un coup d’œil autour et il obéit et embrassa mes bottes puis se releva. J’étais satisfaite de cette preuve d’obéissance et de dévotion. Elle ne s’arrêta pas là. Le lendemain, nous étions dans le parking d'un centre commercial et, après qu’il ait ouvert la porte de la voiture pour que je puisse y entrer, il se pencha et baisa mes bas alors que je venais de m’asseoir et que la porte du véhicule était encore ouverte sans même regarder préalablement autour de lui. Tout ce qui comptait pour lui était de me montrer qu’il m’adorait et qu’il était prêt à ce qu’on se moque de lui afin de prouver sa dévotion. J’étais impressionnée. Je me sens toujours fière de ce qu’il fit ce jour.  
- En novembre 2001, je rentrai dans un magasin de chaussures. Alors que j’admirais une paire de bottes, un jeune vendeur d’à peine 20 ans s’approcha et me demanda s'il pouvait m’aider. Je lui ordonnai de m’apporter une paire de bottes que j’avais repérée, de la bonne taille afin que je l’essaye. Il fit très vite. Cela me fit penser à la vidéo que j’avais vue, « la maîtresse de l’esclave de pieds ». Je me souvenais d’une scène similaire et je souris. Alors je m’assis pour les essayer. Il posa la boîte sur le sol a coté de moi et commença à s’éloigner.  Je ne perdis pas une seconde, en pensant « qu’est-ce que j’ai à perdre ? » Le pire est qu’il puisse rire de ma suggestion, avant de trouver un moyen de s’en sortir et de s’éloigner. Alors je tentai le coup et lui demandai avec une voix d’une confiance absolue: « N’allez vous pas me les mettre ? ». Je m’attendais à ce qu’il soit choqué et qu’il dise non. Il hésita un quart de seconde et répondit: « Oui bien sur ». Il se mit donc a genoux, et sortit les bottes de la boite. Il fit tout ce qu’il pu, m’aida à les mettre, à fermer la fermeture éclair puis m’aida à les enlever et eut beaucoup de mal. Je fus très impressionnée quand il alla sans broncher chercher une autre paire et au moment de l’enlever je lui montrai comment faire. Les autres vendeurs remarquèrent ce qu’il faisait, mais les deux vendeuses firent celles qui ne remarquaient rien. Le plus âgé des vendeurs, qui avait la trentaine ne put résister à la tentation: il vint vers nous, regarda mon serviteur et dit d’un air moqueur: « Mais qu’est ce qu’il fait ? » Je lui dis froidement: « regardez bien sinon je vous le fais faire ensuite ! » Un autre vendeur entendit, me sourit et regarda le plus âgé des vendeurs avec un air lui signifiant que je ne plaisantais pas. Alors ils s’éloignèrent tout deux. Après que le jeune vendeur eut enfin réussit à me mettre les bottes, je me levai et allai voir face à un petit miroir. Il essaya de me vendre un sac à main qui selon lui allait avec les bottes, mais je lui dis de l’essayer d'abord sur lui et que, peut-être, je pourrais l’acheter. Alors il joua avec en le jetant sur son épaule. Il me sourit et me demanda à quoi il ressemblait. Il était évident qu’il n'était pas homo, et qu’il faisait juste le mieux possible pour me plaire en tout ce que je lui demandais. Je fus impressionnée par son obéissance et son sans gêne, même en présence des autres vendeurs. A la fin je décidai de les acheter. Je sais que je n’aurais pas désiré acquérir ces bottes si ce jeune vendeur n’avait pas fait tous ces efforts pour me plaire.  Il m’accompagna à la caisse afin que je règle l’achat puis se retira doucement pour laisser les deux vendeuses gérer la vente. Une des vendeuses me demanda avec une expression franche: « Etes vous satisfaites du service ? » Elle attendit ma réponse avec sincérité, elle ne souriait pas, ne se moquait pas et, visiblement, elle ne posait pas la question par habitude comme elle aurait pu la poser à quiconque. Elle agissait comme si j’étais une personne très importante et que mon opinion comptait beaucoup. Je décidai de répondre à la question aussi sincèrement qu’elle l’avait posée. Je fis celle qui réfléchit une seconde puis répondis « Oui ». Les deux femmes furent visiblement soulagées. C’était un moment mémorable. Elles étaient comme deux Déesses qui voulaient être certaines qu’une autre était contente des services de leur esclave. Je les aurais toutes invitées chez moi pour leur montrer un monde qu’elles auraient sans doute apprécié. Mais hélas, je ne le pouvais. J’ai souri et payé. Le jeune vendeur entendit que j’étais satisfaite de ses services, et ne voulut pas que je parte sans me montrer sa gratitude. Il nous rejoint et me pria de parler à son patron de ses efforts. Je lui répondis que je pourrais. Je me retournai pour partir et il ajouta: « S’il vous plait, revenez encore. » Je lui dis que je reviendrai pour une autre paire de botte d’une autre teinte. Il en fut ravi et répondit qu’il l’espérait vraiment. Je partis toute contente de ce que je venais de vivre. J’ai pensé: « Si seulement ils savaient qui je suis ». J’aurai bien mis ce jeune vendeur soumis dans mon sac avec mes bottes pour le ramener chez moi.
Deux semaines plus tard j’y retournai. Le jeune vendeur n’était pas là. Il y en avait un autre et je décidai de m’amuser avec lui. Je lui ordonnai de m’amener une paire de bottes. Tandis que j’essayais les bottes, j’ai dû lever mes jambes en oubliant que je portais une jupe. Le vendeur eut l’air d’avoir besoin de se recomposer, car je notai qu’il avait vu sous ma jupe. Je pris plaisir à le tourmenter ainsi en faisant mine de lutter avec mes bottes. Il ne réalisait pas, bien sûr, l’honneur qu’il avait d’apercevoir mes bas et mes dessous, que seuls mes esclaves peuvent voir, et que cette tenue que je portais était la même qu’un de mes esclaves allait bientôt voir afin de m’adorer. Ce fut quand même mois amusant que la première fois, et je me déterminai à retourner voir mon petit vendeur soumis.

 

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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