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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

La compréhension

Mercredi 22 mars 3 22 /03 /Mars 07:50

Q. Chère Elise, je suis une lectrice de votre site et j’ai une question. J’ai entendu parler que les fesses d’un homme sont bien plus sensibles à la douleur après qu’il ait eu un orgasme. Est-ce vrai ? Et si oui, en connaissez-vous la raison ?

Et si c’est le cas, ne serait ce pas le moment parfait pour lui administrer une punition corporelle si on veut vraiment lui inculquer quelque chose ? Merci pour votre formidable site.


R. Oui, c’est tout à fait vrai, mais ce n’est pas un mystère. De nombreux mâles soumis sont bouleversés par la pensée d’être fessé, fouetté et discipliné par une femme. J’en parle souvent sur mon site et dans mes livres, alors si vous voulez savoir pourquoi je vous conseille de lire la section «La Discipline, les fessées et les punitions corporelles ». En raison du fait que le soumis vibre à la pensée d’être corrigé, il entre en état d’excitation quand une femme commence à le dresser ainsi, particulièrement si elle commence doucement ou modérément. A moins qu’il soit masochiste, il n’aimera probablement pas un dressage sévère ou une punition dure. Mais de nombreux soumis sont excités quand ils reçoivent une correction légère ou modérée de la main d’une femme. Plus ils sont excités, plus ils peuvent endurer en raison des pulsions sexuelles combinées aux désirs de soumission que cela provoque.

Cependant, s’il advenait qu’il jouisse pendant la séance, il perdrait cette énergie sexuelle et ne pourrait supporter autant de douleur. L’état de transe où il était s’évapore et il doit alors faire face à un dressage sans l’excitation sexuelle, cela rend le dressage moins érotique et plus douloureux.

Pour répondre à votre seconde question, Oui, il y a des femmes qui font exactement ce que vous suggérez si elles veulent punir leur mari pour une faute et qu’elles ne veulent pas qu’il en ait du plaisir.

Si un homme est vraiment fouetté et qu’il rentre facilement dans le sous-espace en raison de cette activité, la femme dominante peut décider qu’afin qu’il subisse une vraie punition, elle l’obligera à se masturber avant la séance, ce qui enlèvera toute pulsion érotique chez lui (et pour elle cela pourrait au contraire lui en donner plus si elle devient excité à la pensée que son soumis souffre plus que d’habitude).

Néanmoins, si vous souhaitez que l’énergie liée à la D&s et que la passion sexuelle soit présente pendant la séance, il est mieux que l’homme soit dans un état d’excitation. Plus il a été frustré longtemps, plus il peut supporter une séance dure, et plus un échange d’énergie D&s existera pendant le dressage.

Mais si votre but n’est pas de ressentir cela, mais simplement de le punir et que ce soit douloureux pour lui, dans ce cas l’obliger à jouir avant la session fait que la punition sera plus dure pour lui. Merci pour la question et bonne chance.

Par LO - Publié dans : La compréhension
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Mercredi 22 mars 3 22 /03 /Mars 05:29
  1. AVEC OU SANS EXCITATION
  2. BONNE PRATIQUE 


Q.Bonjour Elise, pouvez vous me donner des suggestions pour « discipliner » un male soumis ? Je sais que mon mari en a besoin et je veux que cette relation fonctionne. Merci beaucoup.
 
A. Quand vous disciplinez un male soumis, commencez doucement mais avec l’envie d’expérimenter. Commencer avec un classique, la fessée sur les genoux avec une brosse a cheveux. Habillez vous sexy, séduisez le, puis ordonnez lui de se mettre nu sur vos genoux. Commencez avec des coups léger, changez de fesse, attendez toujours 5 secondes entre chaque coup, puis donner un coup plus dur. Caressez sa fesse pendant et après la fessée.
Acheter un paddle ou un fouet et expérimentez le. Commencez toujours doucement puis plus dur et sévère. Donnez lui un mot de sauvegarde qu’il peut utiliser si c’est trop douloureux. Cela prendra du temps pour l’amener à recevoir une vraiment bonne rossée, mais son endurance s’accroîtra avec le temps, plus vous le disciplinerez.
 
 
 
Q. Chère Elise. Ma femme désire vous dire que les informations qu’elle a trouvées sur votre site ont été essentielles à notre mariage. Je crois que vous avez deviné, je suis soumis à ma femme. Comme j’ai un problème pour différencier la discipline et la punition, m’a femme m’a « suggérée » de vous écrire pour vous le demander. Pour moi la discipline et la punition sont presque pareil. Seriez vous assez gentille pour m’expliquer la différence ? Pourrait’ on avoir des exemples des deux ?
La discipline est un style de vie basé sur les corrections dans un but positif. La punition est une condamnation pour avoir enfreint les règles
Un hors la loi qui est condamné à la prison est puni pour ses crimes. Un athlète qui essaye d’améliorer ses performances à travers une vie de discipline, fait des sacrifices pour y arriver.
Dans le style de vie ou la femme domine, l’homme est discipliné par la femme pour devenir s’améliorer et devenir un meilleur serviteur. L’homme est discipliné pour être corrigé afin d’être ce meilleur mari et serviteur. Une cession de dressage/discipline par semaine permet à la dominatrice d’améliorer les performances de l’homme dans les objectifs et taches qu’elle lui a assignée. Il lui est donné une correction afin que ses performances s’améliorent et qu’il soit correctement entraîné pour savoir comment servir mieux sa maîtresse.
Une punition est un jugement ou une sentence pour une violation d’une loi que la femme dominante a édictée. L’homme qui a en connaissance de cause violer un des ordres des sa reine, est punis pour son comportement déloyal. Un exemple est celui ou la femme dominante a interdit à son époux de se masturber. Si il viole la règle, il sera alors punis pour apprendre sa leçon et payer pour son infraction. 
D’un autre coté le mari soumis est régulièrement discipliné, qu’il ait ou non violé des règles. Il est discipliné pour être dressé par sa femme dominante. Une activité D&S comme le fouet ou la fessé peuvent être un dressage ou une punition. Mais le but et la sévérité seront différents si c’est un dressage ou une punition. Une punition sera bien plus sévère que la discipline.
La discipline est une excellente chose et le soumis peut être amené dans le sous espace par une correction donnée par la main de la femme aimante et autoritaire. La discipline est nécessaire pour la femme dominante pour correctement entraîner son mari. Un homme sans une discipline régulière est en général un mari désobéissant qui est égoïste et feignant. Par nature, les hommes ont besoin d’être discipliné par une femme. Plus un homme est dressé, moins il aura besoin d’être punis car il sera bien plus obéissant.
La punition est un très mauvais moment à passer pour le soumis et n’est pas fait pour le satisfaire. C’est fait pour sévir contre des erreurs afin qu’elles ne se reproduisent pas. Une punition est aussi un acte d’amour, mais son but est de réprimander et reprocher.
Ces deux termes sont cependant proches et nous les utilisons de manière connexe. Mais la terminologie n’est pas aussi importante que le but de la correction. Si c’est pour entraîner, guider, apprendre un comportement meilleur c’est de la discipline, du dressage. Si c’est pour réprouver, pénaliser, et châtier la désobéissance du mâle, alors c’est une punition.
 
 
 
Q. Chère Mtrs Sutton, j’ai été initié à la supériorité féminine quand j’ai rencontré une femme superbe il y a deux ans. Elle m’a remarquée et a entrepris la tache de me faire comprendre la supériorité féminine. Après un an de relation, j’ai accepté son autorité (elle est plus âgée que moi) et ses mesures disciplinaires et j’ai été d’accord de vivre selon ce style de vie.
J’obéis à ses règles a présent. Je n’ai pas à porter une cage de chasteté, mais je n’ai pas la permission de me toucher moi même. Elle veut que ses mots soient plus forts que toutes les contraintes. Une fois la semaine elle me permet de me soulager, et ses mains féminines mettent rarement plus d’une minute pour me faire jouir. J’étais puni que pour mes imperfections et je l’accepte car elle a prit la responsabilité de faire de moi un homme meilleur. Quand elle m’enlève les menottes (j’espère qu’un jour j’arriverai a supporter ses punitions sans avoir besoin des menottes), j’ai l’autorisation de la servir oralement. J’adore cela même quand elle perd le contrôle et que je reçois son nectar. Je suis très fier de savoir la faire jouir avec ma langue. Je fais le mieux possible pour la satisfaire, et nous nous marierons en automne.
La semaine dernière elle m’a annoncée un régime pour renforcer ma chasteté et nos liens. A la place d’être corrigé quand je fais des erreurs, elle va me punir régulièrement. J’ai crainte des we car la séance de canne est a présent sévère. Elle me bat jusqu'à ce que je ne bande plus. Cela peut prendre deux douzaines de coups car elle me stimule après m’avoir battu avant de continuer la punition. C’est uniquement quand elle est sur que je ne banderai plus, qu’elle me libère et que je dois la servir oralement. Malgré la douleur je recommence à être excité mais elle est si épuisée après son plaisir qu’elle m’envoie au lit sans m’accorder mon plaisir.
Quand j’ai demandé pourquoi, elle a simplement répondu que c’est son droit de me corriger comme elle veut. Elle m’a suggéré de vous demander des conseils. Mtrs Sutton, a t’elle le droit de me corriger comme elle le désir, alors que je fais le mieux pour lui faire plaisir ?
 
 
A. Vous connaissez la réponse à cette question, et vous m’écrivez juste pour entendre une autre femme le dire. Bien sur qu’elle à le droit de vous punir pour son plaisir, mais elle a aussi une méthode pour sa discipline. Elle vous apprend le self contrôle. Elle fait en sorte que vos stimulations ne soient pas plaisantes afin que vous teniez plus longtemps entre deux orgasmes. Elle vous programme mentalement pour que vous puissiez lutter contre vos orgasmes. Selon ma définition ce n’est pas vraiment une punition, mais plutôt de la discipline. Je soutient des cessions régulières de disciplines entre la domina et son soumis. Cela permet de vous garder en état de soumission et de vous contrôler. Je dirai qu’elle est aussi un peu sadique mais que c’est très bien tant que la discipline est saine et sans danger. Je ne défends pas la brutalité mais vous êtes un grand garçon et vous pouvez supporter bien plus que vous ne le pensez. Si vous pensez qu’elle vous blesse physiquement, au delà du raisonnable, alors utiliser votre mot de sauvegarde et ayez une discussion ouverte, car c’est de votre responsabilité de lui dire qu’elle vous blesse. C’est de sa responsabilité de s’assurer que vous êtes ok pendant une session de discipline. La communication est cruciale, mais comme elle a le droit de vous dresser, bien sur elle le fait. Vous savez que vous aimer, et même si vous n’aimez pas la douleur physique quand ca arrive, vous aimez mentalement et cela vous amène un plaisir mental et la paix pour le reste de la semaine. Cela assure de plus que vous serez plus prêt à lui obéir et qu’elle pourra vous contrôler bien mieux après ces sessions de dressage. On dirait qu’elle sait ce qu’elle fait, alors qu’elle veut que vous soyez sous son contrôle total avant votre mariage. C’est une femme intelligente et je vous souhaite un long et heureux mariage avec de nombreuses session de dressage pour vous et plein de plaisir pour elle. Amusez vous !
 
 
Q. Bonjour Elise. Je veux déjà vous remercier pour vos procédures. Je les ai utilisée et c’était GENIAL ! Je le punis et l’amène de plus en plus dans la vraie soumission et je ne me suis jamais senti aussi bien. Il devient un vrai esclave. En fait j’aimerai tenter quelque chose de totalement différent pour moi. J’aimerai utiliser un long fouet en cuir sur mon mari ! J’en ai essayé un court d’une copine la semaine dernière. (Elle vie la D/s, ils ont une ferme et des chevaux). J’aime la sensation que cela procure, de faire claquer le fouet. Et je voudrais le pratiquer sur ma chose. Je vais l’attacher par les poignets afin qu’il ne puisse pas m’échapper. Qu’en pensez vous ? Les coups ne doivent’ ils porter que sur les fesses ?
 
 
A. J’ai un fouet que j’utilise à l’occasion. Ce que vous voulez faire est une excellente idée. Vous devez beaucoup vous entraîner avec un fouet à main avant de l’utiliser sur votre mari. Ils sont très durs à utiliser au début. Je me suis frappé accidentellement moi même avant d’apprendre, et croyez moi ça fait mal.
Si vous avez accès à un endroit approprié isolé, ce serait très bien de vous entraîner. Couvrez vous bien avec des vêtements épais quand vous vous entraînez. Mettez même une cible qui vous permet de visualiser le dos et les fesses du punis. Essayez de viser ces points là, et seulement ceux là. N’essayez pas de taper fort, mais apprenez à être précise. Le fouet fera mal, donc ne vous préoccupez pas de votre force de frappe au début. Concentrez vous sur le fait d’être précise et travailler sur le son qu’il fait. Le son aura un effet sur le mental du soumis plus que la douleur encore. Une fois que vous vous sentez à l’aise, alors utiliser le sur votre chose. Vérifier qu’il pourra supporter. S’il a appris à supporter la cane, alors il supportera le fouet, c’est l’opinion de nombreux hommes. Mais attention le fouet peut faire des dommages si vous n’êtes pas entraînée.
Si vous n’avez pas d’endroit pour vous entraîner et que vous voulez encore apprendre, vous pourriez participer à une soirée bdsm où ils font des démonstrations et vous pourriez apprendre de cette façon. Mais si vous voulez le faire sur un soumis, votre instructeur doit vous guider.
Une fois que vous maîtrisez l’art du fouet, c’est très agréable. Comme vous disiez, vous pouvez l’entourer autour du corps du soumis et même autour de ses parties si vous êtes très bonne. Le son du fouet est sauvage, et peut emmener votre soumis dans le sous espace. La vue d’une femme tenant un fouet et s’échauffant avant de se concentrer sur sa victime est très parlante pour le mental du soumis. Vous n’aurez pas besoin de taper fort pour l’effrayer car l’imagerie lui parlera. Le fouet laisse des traces très instructive et efficaces. Le fouet nécessite de la pratique mais toutes les femmes peuvent l’apprendre.
 
 
 
Q. Chère Elise, merci pour votre superbe site. Je regarde chaque mois les nouveautés sur la partie Question/réponse et la partie « Expériences vécues ». J’ai ma propre question. Je sais que j’ai depuis longtemps des désirs de soumission, mais je ne suis pas certain d’être réellement soumis. J’ai une compagne qui vie loin de moi. Nous nous envoyons plein de mails, nous téléphonons, et nous rencontrons dès que nous pouvons. Elle connaît mes désirs, j’ai beaucoup partagé avec elle.
Elle à l’air contente de m’obliger à la traiter en Reine, et de me punir si besoin. La plupart de cela s’est fait virtuellement par le net. J’ai des fantasmes qu’elle connaît où elle m’attache, me fesse, me fait porter une ceinture de chasteté et où elle est dominante au lit. Elle semble vraiment participer aux punitions. La dernière fois où elle est venue elle m’a punis pour une offense. Je lui ai acheté toute une variété d’instrument pour rendre sa tâche plus aisée. L’un d’entre eut est un tapette en cuir. Je dois vous avouer qu’il n’y avait rien d’érotique dans la fessée que j’ai reçue. J’ai vraiment eu mal mais bien sur je l’avais mérité. Mais du coup j’ai perdu l’envie d’avoir du sexe ensuite. Ce qui l’a vexée. Et après qu’elle soit partie je me suis senti beaucoup d’envie pour être soumis et je me pose des questions. Avez vous une explication à ma perte de libido ? Est ce que cela veut peut être dire que je ne suis pas soumis après tout, ou que mon amie ne m’a pas punis de façon assez érotique ? Je pense qu’elle aime vraiment le fait qu’elle puisse me punir quand je lui déplait, et que si l’on continue sur ce chemin elle ne voudra plus en changer. Expliquer moi pourquoi j’ai réagis comme cela à quelque chose que je désirai apparemment. ?
 
A. Si elle vous punissait pour une offense, le but n’était pas érotique. J’ai expliqué la différence entre la punition et le dressage. Le but de la punition est de vous faire mal pour que vous n’ayez plus envie de recommencer. Elle vous apprenait et vous entraînait à être plus obéissant. Le problème vient du fait que vous ayez une relation à distance. Si elle était là avec vous, elle aurait pu vous consoler ensuite ce qui aurait pu rendre la punition plus efficace et plus positive pour vous. Il est aussi possible qu’elle l’a fait trop dur. Fesser et fouetter un homme est un art qui s’apprend. On doit commencer doucement et être de plus en plus sévère. Si c’était une session de dressage, une femme devrait la rendre érotique et sensuelle autant que douloureuse. Plus un homme est excité, plus il peut supporter un dressage dur. Cela vient avec la pratique, si elle vivait plus proche, elle pourrait plus aisément explorer vos niveaux de plaisir et douleur et apprendre à vous discipliner correctement afin de vous rendre plus soumis. Le but d’une séance de dressage est de développer votre soumission afin que vous soyez plus servile. Le but d’une séance de punition et de vous punir d’une faute.
Vous avez de la chance d’avoir trouvé une femme qui aime vous dresser. Parler avec elle et permettez lui de s’épanouir dans cet art. Elle apprendra ce qui vous motive et ce qui vous démoralise en communiquant avec vous. Votre voyage ne fait que commencer. Ne l’arrêtez pas en raison d’une mauvaise expérience.
 
 
 
Q. Chère Mtrs Sutton. Je suis une femme mure de 56 ans, dominante. Ma chose en a 57 et nous sommes mariés depuis 35 ans. Je suis la discipline dans la famille. Nous pratiquons la domination féminine 24h sur 24. Il porte une cage de chasteté, une CB2000 depuis 3 ans. Bien que j’ai cet age j’adore le sexe oral que je pratique 3 à 5 fois la semaine. Ma question est que pensez vous de la mise au coin comme punition pour une désobéissance. J’ai beaucoup lu votre site et il n’y a rien la dessus.
 
 
A. Dans mon livre, j’ai consacrée tout un chapitre à la discipline victorienne et à la domination. Dans ce chapitre je décris certaines pratiques qui étaient utilisée pour éduquer les enfants à l’époque victorienne. Les mises au coin, les chapeaux de cancre, les lignes d’écriture, tirer les cheveux, faire porter aux garçons des vêtements de femme, et autres actions humiliantes qui étaient couramment utilisées à l’époque par les gouvernantes et les maîtresses d’école.
Les organisations comme celle d’Alice Kerr Sutherland (AKS) ont incorporées l’habillage et les méthodes de discipline victoriennes dans la relation moderne et le style de vie basé sur la domination féminine, quand la domina éduque son époux. La canne est l’instrument préféré pour la correction pour eux, de nombreuses méthodes non physiques pour éduquer les enfants sont utilisées par les femmes dominantes pour éduquer leur époux. Le coin, la cuillère d’huile de ricin, le lavement punitif, être envoyé au lit sans manger, être punis de télévision ou d’ordinateur, tout cela pour punir le mari désobéissant.
Ces types de discipline fonctionnent mieux si la relation se fait au sein d’un mariage ou la femme domine. Certaines femmes traitent leur mari un peu comme des enfants et aiment les jeux basés là dessus. Le coin peut être efficace, le mari devant rester le nez face au mur pour une période prolongée. C’est une punition qui peut être cruelle pour un homme qui aime être actif.
Le coin est une démonstration de l’autorité de la femme quand elle lui ordonne d’y aller et qu’il obéit doucement, restant debout et silencieux jusqu’à l’autorisation de sa femme qui le libère. C’est comme des bondages sans lien. C’est un bondage de la volonté et un exercice d’obéissance mental. L’homme sait qu’il peut bouger, comme il n’est pas attaché, mais il choisit d’obéir à sa maîtresse et est prisonnier de ses mots et ordres. Ce genre d’expérience peut transporter certains hommes dans le « sous espace ».
Mais plus probablement un male adulte verra le coin comme une servitude utilisée pour le punir. Si il en a horreur, il fera en sorte de mieux obéir sinon il sera mis au coin plus souvent et longtemps par l’autorité qu’est sa femme.
Par LO - Publié dans : La compréhension
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Mardi 21 mars 2 21 /03 /Mars 05:09

Q. Bonjour Elise. Déjà permettez moi de vous remercier pour votre excellent site. Je l’ai trouvé utile et pratique. Pardonnez moi pour ma question qui pourrait tomber un peu comme un goutte d’eau mais … y a t’il une différence entre l’étouffement et le Queening ?

J’ai toujours pensé que ces deux termes étaient interchangeables mais j’ai noté que Wikipédia ne contenait que les termes face-sitting et Queening. J’allais le compléter en y rajoutant une rubrique sur l’étouffement mais j’ai réalisé que je pouvais me tromper. Qu’en pensez vous ?

 

R. Le Queening est une forme de face-sitting et peut être associé avec l’étouffement. Mais le Queening est bien plus que cela. Alors je le mettrai dans une catégorie à part.

Matériellement le Queening est le fait qu’une femme dominante pose son cul sur le visage d’un homme soumis, et lui demande de la servir oralement. C’est un plaisir très érotique pour la femme, et c’est très humiliant et génère de la soumission pour le mâle. L’homme soumis désire ardemment non seulement embrasser et adorer le fondement de la femme, mais il souhaite être écrasé par lui. Il désire être coincé et sans défense à travers cet acte, il est ainsi conquis et à la merci de la femme qui l’a capturé.

Le Queening diffère du face-sitting car pour le face-sitting c’est une activité totalement sexuelle, la femme plaçant son Périnée sur le visage de l’homme. Le cunnilingus est associé au face-sitting. Le Queening est associé avec l’anilingus. Naturellement le Queening est une variance du face-sitting, car la femme s’assieds sur le visage de l’homme. Ce peut être pour avoir un anilingus ou pour l’étouffer, mais en général l’objectif du Queening est l’aspect du pouvoir et du contrôle qu’il revêt. Le Queening est une forme de bondage, de face-sitting, d’humiliation, d’anilingus et d’étouffement.

Cela peut être aussi une exploration d’un fétichisme. Un mâle peut avoir le fétichisme des fesses des femmes et d’un matériel (comme le tissu) séparant l’homme du contact direct de la femme. Une femme peut porter des collants, un pantalon de cuir, un short en latex…

Un homme peut être fétichiste du cuir, et le Queening lui permet d’être piégé sous les fesses d’une femme, et ainsi l’immerger dans un environnement de cuir, tout en étant sans défense et sous le contrôle d’une femme.

La même chose peut être vraie pour toute autre matériau qu’elle pourrait porter.

Le Queening peut aussi être un exercice d’étouffement, la femme pouvant étouffer son soumis sous ses fesses (nue ou habillée) et elle peut contrôler ainsi sa respiration lors d’une session de Queening. Elle peut lui permettre d’avoir un signe de la main quand cela devient trop dur pour lui, il l’utilise et elle se lèvera lui permettant ainsi de reprendre sa respiration, avant que de continuer cet exercice. Les jeux d’étouffement ne doivent être pratiqués que par ceux qui sont conscients des risques et connaissent les techniques de sécurité.

L’étouffement ne se fait pas seulement par le Queening, car un homme peut être étouffé par d’autres parties du corps féminin, y compris sa poitrine, ses cuisses, ses pieds et bien sur son sexe. On peut aussi utiliser un objet comme un oreiller, un masque à gaz, un sac en plastique ou un capuchon. Comme vous pouvez le voir l’étouffement et le Queening sont différents même si le Queening peut être utilisé pour étouffer le soumis.

En conclusion, j’ai parlé à plusieurs reprise des dangers des jeux d’étouffement dans diverses rubriques, alors je recommanderai que vous les relisiez afin de prendre toutes les précautions utiles si vous voulez le pratiquer. Amusez vous mais toujours sans risque.

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Par LO - Publié dans : La compréhension
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Lundi 20 mars 1 20 /03 /Mars 03:52
Madame.

J’ai 22 ans et je viens de découvrir votre site, c’est vraiment passionnant. J’ai vraiment envie de dominer mon petit ami, mais je ne lui fais pas lire, je préfère le surprendre. Je sais qu’il a des tendances soumises, j’ai déjà joué à des jeux BDSM avec lui, mais voilà : Bruno adore la fellation, et je dois dire que je le suce régulièrement, pour son plus grand plaisir (moi-même je ne déteste pas). Or je vois dans votre beau site que souvent les dominatrices refusent de faire des fellations à leurs soumis.. Alors que faire ? Devrai-je arrêter quand Bruno me sera complètement soumis ? Déjà il me fait un bon service oral (cunnilingus) et souvent on le fait ensemble (en 69). Je crains qu’il le prenne très mal si je lui annonce que je ne le sucerai plus.
Magali.

Réponse de Ms.Dana :

Magali. Bravo pour nous avoir écris, et puis bravo pour cette "envie" de domination que vous éprouver. Vous verrez que ce désir peut, si vous le comprenez et l'utiliser bien, bouleverser votre vie.
Cette question là, bien des maitresses peuvent se la poser.
Le premier principe de ce mode de vie est de "vous faire plaisir". Vous ne devez rien vous interdire, et vous laisser aller à tous les bonheurs que cette vie vous offre.
Le second principe qui creer la dynamique de soumission d'un homme, et participe de manière essentielle à ses progrès en ce domaine, est la frustration.
Si vous avez encore envie de lui faire une fellation, mais pour vous, pas pour lui, et bien faite là. Mais je vous conseille de ne jamais mener celle ci à bout tant qu'il ne le merite pas par son comportement docile et dévoué. Le faire tout en le gardant frustré le rendra encore plus attentif et docile.
Il est évident que symboliquement, cette technique peut être sujet à débat (au sein de cercles de dominantes par exemple), mais vous avez le temps, le temps de changer.
Alors si vraiment cela vous plait, ne vous gênez pas. Et le jour où vous en aurez plus le désir et bien vous pourrez lui montrer que les choses évoluent et qu'il doit apprendre à vous suivre et faire uniquement ce qui vous plait à vous. Qu'il le prenne bien ou pas, n'est pas le sujet. La question sera alors plutot, veut'il ou non vous etre soumis. Et vous verrez que posé ainsi vous allez acquérir bien de l'ascendant et du pouvoir sur lui.
Bien du bonheur Magali, et surtout n'oubliez jamais que ce mode de vie est une clef pour la reussite d'une vie, une clef essentielle à votre bonheur.

Par LO - Publié dans : La compréhension
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Dimanche 19 mars 7 19 /03 /Mars 16:56




Q. Quels sont vos sentiments à propos d’avoir un amant ? J'ai trouvée sur cette matière par hasard un certain nombre de discussions de femmes dominantes, de conseils et d'emplacements. Je sais que cela correspond au fait qu’une épouse dominante ait des amoureux autres que son mari. Tromper son soumis n'est ce pas un adultère ?
 
Dans la domination féminine ce terme est venu pour signifier une épouse libérée qui a d'autres amoureux dans le but unique d'humilier son mari et d'employer cette humiliation pour conduire le mari dans une soumission plus profonde. L'épouse dominante proclame qu'elle est libre de faire ce qui lui plait, y compris avoir des relations sexuelles avec qui elle désire. Le mari soumis doit être lui monogame et doit souffrir la honte d'être cocu. Dans la domination féminine, souvent l'abstinence et le contrôle de la jouissance du mari s'accompagne par le fait qu’il devienne cocu. L'épouse aime avoir des relations sexuelles avec un autre homme tout en refusant à son propre mari le droit d'en avoir elle. C'est un jeu d'esprit et un échange de puissance.
  
Mon sentiment personnel est que les femmes qui utilisent cela comme excuse pour tricher et en profiter, mettent en danger leur mariage. Avoir des relations avec un autre homme derrière le dos de votre mari est un adultère. Cependant, j'ai connu les femmes qui emploient cette méthode en tant qu'un outil et une façon pour conduire leurs maris dans une soumission plus profonde. Mon principe de base est que tant que le mari est présent et accepte d'observer ce n'est pas un adultère. Ce peut être un outil très puissant de humiliation et il peut ouvrir plus des désirs dociles du mari.
Rappelez-vous que dans le nouveau testament, l'adultère est un péché du Coeur. Il est possible de commettre l'adultère sans jamais avoir le sexe avec une autre personne. Jésus a dit cela “si votre convoitise et votre cœur vont vers un autre, alors oui il y a adultère ». De même, il est possible d'avoir des relations sexuelles avec une autre personne et de ne pas commettre l'adultère. Si l'épouse a des relations sexuelles avec un autre homme dans l’unique but d'humilier et de commander son mari et si son cœur est toujours vers son lui, alors ce n'est pas répréhensible du tout.
  
Maintenant il doit y avoir quelques règles à respecter. Le mari devrait être présent et si l'autre homme est marié également, son épouse devrait lui donner la permission. Il ne peut y avoir aucune fraude ou duperie. En outre, assurez-vous que l'autre homme est sain et protégez vous. Veuillez bien m'écouter. Je n'encourage pas ou ne décourage pas l’adultère. Mais seulement si les motifs de l'épouse sont véridiques, le faire cocu peut être une arme puissante dans la formation de son mari. Enfin même si elle ne passe jamais à l'acte, tout mari soumis devrait reconnaître explicitement le fait que l'épouse a le "droit" d'avoir d'autres amoureux tandis que lui n'existe que dans le but unique de satisfaire son épouse.
 
Le résultat ultime est que la domination féminine doit apporter un plus au mariage. Si l'un ou l'autre a un problème réel avec l’adultère, alors évitez le. Si une activité ne renforce pas le lien du mariage et le niveau d'intimité et la confiance entre le mari et l'épouse, alors l'activité n'est pas un plus. Comme toutes les choses, l’adultère doit être discuté ouvertement et honnêtement entre le mari et l'épouse pour voir ce qu'ils tous les deux pensent de ce sujet. Finalement, l'épouse prendra la décision basée sur ce qu'elle sent elle, comme la meilleure solution dans ce style de vie. Un mari qui désire être trompé ne doit jamais pousser son épouse dans cette activité. Elle doit décider ce qu'elle désire et estime que ce serait une expérience positive pour eux deux. L'épouse prend la décision.

Q. Mme. Sutton, je veux vous remercier pour votre site sur ce style de vie. J'ai également une question au sujet de l’adultère. J'ai lu les histoires et votre avis à ce sujet, mais il y a une chose que je ne comprends toujours pas; pourquoi un mari aimant et adorant sa femme désir t'il être cocu ? Ceci semble aller contre le plus fondamental des émotions humaines, pourtant ce que j'ai lu sur votre site (et d'autres) de ceci semble être un désir plutôt fréquent parmi les maris dociles.
J’ai été mariée et j’ai eue quelques rencontres extra maritales. Je ne chercherai pas à les justifier mais j’ai cédée à un moment de faiblesse. Le résultat a été infernal. Peut importe le nombre de fois où je lui ai demandé pardon et le nombre de fois que nous en avons parlés, il n’a pu me pardonner mon infidélité et nous avons divorcés.
J’ai été blessée mais j’ai persévéré, rencontré mon mari actuel et suis tombée amoureuse de lui. Après trois ans de notre nouveau mariage j’ai découvert que mon mari a des désirs de soumission. Je ne connaissais rien de ce style de vie mais j’étais intriguée alors je fus d’accord pour l’explorer avec lui. Votre site et vos procédures ont été très utiles. Alors que nous commencions à explorer ce style de vie j’ai découvert que mon mari avait un grand désir d’être cocu. C’était un de ses désirs les plus grands en D&S. Après mon expérience passé avec mon ex, j’ai rejetée son idée et lui ai dis que je lui interdisais à jamais d’en reparler.
Mais il glisse encore cette idée quand nous discutons de ce style de vie et je peux voir son excitation et son enthousiasme. Je suis déroutée. Je sais ce que l’adultère peut faire comme mal, même si elle est consentit entre adultes responsables, je ne vois que pour seul résultat de la douleur et du mal. Est ce que j’ai ratée quelque chose ? J’ai promis à mon mari que je garderai l’esprit ouvert quand nous vivons ce style de vie, mais sur ce sujet j’ai du mal à comprendre. Pouvez vous m’aider ?
 
R. L’infidélité du conjoint est un des événements émotionnels le plus douloureux que l’on puisse vivre. J’ai conseillé des hommes qui m’ont dit que la mort du conjoint est moins douloureuse à supporter que d’être trompé. Cela implique bien plus que la sexualité. Un adultère est un acte de la volonté et du cœur. Pour le conjoint cela représente la forme ultime de rejet. C’est la rupture des vœux et promesses du mariage. Spirituellement c’est le déchirement de deux chairs qui avant n’en faisait qu’une. Cela blesse tant que cela peut provoquer un total chaos des émotions. L’adultère est un mensonge. Le sexe est l’acte final mais n’est pas la somme des ces actes. La déception, la rupture des promesses, le rejet de l’amour du partenaire d’une vie en étant intime et courtisée par un autre, tout cela précède l’acte sexuel. Le résultat peut être dévastateur pour un mariage. Certain couple peuvent être suffisamment fort pour supporter ce traumatisme, mais de nombreux ne le peuvent pas comme vous lors de votre premier mariage. Pour un homme l’adultère de sa femme peut être une blessure supplémentaire en raison de la fragilité de son ego mâle. C’est comme si votre ex n’avait pu supporter ce que vous avez fait. C’est vraiment dommage, car si c’était vraiment une simple rencontre, il n’y a aucune raison pour que vous n’ayez pu tout deux sauver votre mariage. Vous lui apparteniez tout au long de votre mariage, sauf une nuit, mais il fut hanté par cette pensée et n’a pu vous pardonner. C’est vraiment dommage mais cela prouve la douleur et la puissance négative que peut porter l’adultère. J’ai exclue pratiquement le fait de « tromper » de mon site en raison des effets blessant de l’infidélité. Je suis pour renforcer les mariages à travers la domination féminine, pas pour le détruire. Cependant je ne peux ignorer que le désir d’être trompé et très fort chez certain soumis et que le fait d’avoir un amant est de plus en plus courant dans les mariages sous l’égide de la domination féminine. Alors plutôt que d’ignorer ce sujet controversé, j’ai décidé qu’il était mieux de l’inclure et d’en discuter de manière ouverte.
 
Ce qui compte avec l’infidélité ce sont les intentions et les motivations. Malheureusement il y a des femmes qui se servent de l’avantage de la nature soumise de leur mari pour vivre une vie aventureuse. Certaine ne le font pas, mais la majorité si. Le fait de mentir revient toujours à détruire son couple.
 
Ayant dit cela il y a des couples qui ont réussis à inclure l’adultère dans leur mode de vie. L’adultère signifie différentes choses pour différentes personnes, mais au sein de la domination féminine, l’adultère est une activité où la femme s’engage afin d’amener son mari à un niveau plus grand de soumission à travers cette humiliation intense.
 
L’adultère est aussi une marque sociale dans la domination féminine. Cela inverse la tendance de plusieurs siècles de mariage où les maris avaient des relations extra conjugales et où la femme ne pouvait se défendre en raison de sa dépendance financière.
 
Enfin l’adultère est une arme nouvelle dans l’arsenal de la femme dominante. C’est potentiellement dangereux si elle est incorrectement utilisée, mais le fouet aussi. Une femme peut blesser sévèrement son soumis si elle utilise mal le fouet, ou son god ceinture, ou tout autre outil de la domination et de la discipline. Mais utilisés avec la bonne technique et les bonnes motivations ces jouets peuvent amenés un homme dans le monde tranquille et plaisant du sous espace. Il en va de même de l’adultère. Ce n’est pas pour tous les couples, car tous les hommes ne sont pas aussi soumis. Cependant quand vous lisez l’histoire de Gary et Denise dans ma section histoire réelle, vous verrez ce que l’adultère lui fait et vous aurez une idée de pourquoi tant d’hommes soumis désirent cette activité. Il n’est pas unique. Il y a beaucoup de mari soumis qui désirent être trompés.
 
Fait correctement et avec les bonnes motivations, cela peut être excitant pour la femme comme elle va exercer son autorité féminine et vivre la libération sexuelle. Cela lui donne un pouvoir incroyable sur son mari cocu et cela ajoute de la dynamique dans toutes les autres activités de D&S au sein de la relation. L’infidélité dans la relation n’est pas une histoire de sexe mais de pouvoir et c’est ce pouvoir féminin et cette libération de la femme qui permet à la femme d’utiliser cette humiliation intense sur son mari afin de le transporter dans le sous-espace quand elle exerce cette autorité.
 
En d’autres termes c’est la stimulation mentale et la domination mentale qui transportent le soumis à un nouveau niveau de soumission. Le fait de le tromper revient à donner à la femme une expérience qu’elle peut utiliser comme une image mentale pour dominer les pensées de son mari. Ce n’est pas tellement une histoire d’épanouissement sexuel. Il peut y avoir des agréments sexuels, mais l’acte sexuel n’est que temporaire, alors que l’utilisation de cet acte comme un outil de domination mentale peut être permanent. Pensez à cela, votre ex n’a pas arrêté de penser à vous une fois votre relation finit. Ici votre départ ne dure qu’une nuit, mais l’image mentale de ce que vous avez fait, le tourmente lui nuit après nuit. Avec l’adultère au sein d’une relation aimante de domination féminine, la femme utilise l’image mentale de l’adultère pour exciter sans cesse et humilier son mari, et cela le rend plus soumis tout en lui apportant le plaisir d’un épanouissement dans sa soumission. Si le mari est présent et forcé de regarder sa femme le tromper, cela ajoute encore à l’image mentale et à son intensité. La même chose s’il est forcé d’écouter ou de participer de façon humiliante.
 
Cela ne signifie pas que quand il n’est pas dans le sous espace (au travail ou en conduisant sa voiture), le soumis ne puisse pas entretenir des pensées négatives. L’adultère est une attaque contre l’ego du mâle et c’est du pouvoir de la femme dominante expérimentée d’amener son mari à choisir la soumission plutôt que la jalousie. Ce n’est pas facile mais si c’est fait avec succès, c’est un des plus grand bénéfice de l’adultère. Un homme qui devient excité à la pensée d’être trompé est habituellement moins jaloux et cherche moins à contrôler ;
 
Ayant dit cela, laissez moi répéter que l’adultère n’est pas pour tous les couples vivant la domination féminine. Le soumis doit être mentalement prêt à cela et le fait qu’il soit excité à cette pensée ne signifie pas qu’il soit émotionnellement prêt à gérer l’acte en lui même. De même, la plupart des femmes ne trouvent pas d’intérêt à prendre un amant. Beaucoup de femmes adhèrent à ce style de vie pour renforcer leur relation avec leur soumis. Le compagnon et sa dame doivent tous les deux être prêt pour cette activité, autrement cela risque de finir par une expérience négative.
 
Je ne pense que c’est important que la femme réalise qu’elle a le droit et l’autorité sur son mari pour le tromper si elle aurait envie d’exercer ce pouvoir. C’est une chose puissante que de faire admettre à son soumis de s’en remettre à l’autorité et au bon vouloir de sa femme, même si elle n’a jamais eut l’intention ou le désir de le tromper. Le femme peut encore exciter son soumis en lui disant qu’il ferait mieux de se tenir à carreau ou sinon qu’elle pourrait vraiment le faire cocu.
  
Mon conseil est d’utiliser les désirs de votre soumis contre lui en lui faisant savoir que vous avez le droit d’avoir des amants, mais le fait que vous en ayez est totalement de votre ressort. Excitez le avec cela, mais si c’est contre votre conscience, laisser cela à l’état de fantasme. Ne lui permettez pas de vous influencer en vous poussant à faire quelque chose que vous n’avez pas envie de faire. Vous êtes la dominatrice alors vous décidez. Si vous jouer avec lui et l’exciter avec vos droits et votre autorité sur lui, cela pourrait suffire à lui donner la stimulation mentale et sexuelle qui comblent ses désirs de soumission. C’est une façon de satisfaire son besoin d’être dominé et de rester claire avec votre conscience et vos valeurs.    
 
Q. Bonjour Elise, quelle histoire vraie merveilleuse que celle d’Anna trompant son mari. J’aurai juste espérée que vous auriez suggéré le devoir à son mari de « nettoyer » après son infidélité. J’ai demandée à mon mari de lécher mon sexe pour nettoyer la semence de mon amant. Je le recommande fortement. Je ne peux trouver plus humiliant que cela. Je sais qu’elle utilise un préservatif avec son amant, j’aurai voulu qu’elle ordonne à son mari soumis de boire le contenu de celui ci. 
 
A. Ce que vous suggérez est pratiqué par certaines femmes dominantes, mais nous devons faire attention à la santé. Cette femme utilise un préservatif pour se protéger elle et son mari. Elle est à 90% sure que son amant est sans danger, mais à moins que vous le soyez à 100%, ce devoir de nettoyage n’est pas toujours une bonne idée. Je recommande que la femme se nettoie elle même avant qu’elle demande cela à son soumis.
Ce n'est peut être pas aussi érotique mais la santé est plus importante. Vous pouvez utiliser l’imagination et ne pas dire à votre soumis que vous vous êtes nettoyée avant de lui ordonner cela. Ainsi c’est encore humiliant pour votre mari mais en même temps plus sur. La créativité et votre attitude feront bien plus, en ce qui concerne l’humiliation par cet acte de votre soumis, que le nettoyage lui même.
 
Q. Elise j’ai 50 ans mais en ai l’air bien moins. Ajoutez à cela que j’ai perdu beaucoup de poids et coloré mes cheveux en toute blonde, je me sent plus sexy que je ne l’ai été.
Ces quelques dernières années, j’ai sentis une grande envie de tromper mon mari. Nous nous aimons énormément mais je me sens totalement l’envie d’avoir des rapports sexuels avec quelqu’un d’autre, cela me rendrait encore plus sexy. Mon soumis est très bien mais j’ai l’envie de trouver rapidement mieux et de lui dire. Je lui ai dit que j’avais prévu de le tromper et quand j’ai dis cela il a été blessé et totalement bouleversé. Il a dit que c’était une « très bonne blessure ». J’ai suggéré les changements suivant dans notre vie sexuelle :
1. Je peux le frustrer aussi longtemps que je le voudrais. Aucun orgasme sans mon accord et seulement en ma présence.
2. Je peux l’utiliser sexuellement à ma convenance quand je veux, et je peux avoir des rapports sexuels avec qui je veux, à chaque fois que je le voudrai. En cela ce n’est pas son problème et il n’a aucune question à poser.
3. Si il gémit ou se plaint quand je sort (où je vais ? qui je vais rencontrer ? Où étais-je ?) Je pourrai le frustrer plus longtemps encore.
 
Elise, nous sommes tous les deux d’accord que c’est très excitant. Il m’a dit qu’il a été heureux que j’aie été honnête avec lui. Cela lui a fait quelque chose que je veuille trouver mieux que lui. Quand je lui ai dis que je prévoyais de le tromper et ricanant un peu, je pourrai dire qu’il en a été blessé. Mais il a dit qu’il aimait cela et j’ai aimée goûter son humiliation ! Je porte souvent des bottes et je fume et il me dit que cela le rend fou quand je lui dis que je sors et qu’il ne peut pas demander où.
Elise c’est trop amusant et très vibrant pour moi. Je ne me suis jamais senti si sexy et puissante. Je lui ai dis de ne plus revenir son cet accord ou je serai très désappointée. Quand j’ai dis cela, il m’a répondu qu’il se sentait impuissant, et totalement dépendant de moi. Quelle est votre opinion là dessus ?  
 
A. Se sentir dépendant est de la domination mentale. Il expérimente le sous espace. Il ressent votre pouvoir dominant irradiant autour de vous et il ne peut y résister. Il aime perdre le contrôle et il aime vous voir si sexy et dominante. Il ressent que vous êtes sérieuse sur le fait de vouloir le tromper et cela le rend faible. Vous exprimez ainsi votre libération féminine après toutes ces années de mariage et cela vous exalte et vous finalise comme ayant la position dominante dans votre couple. Cela accentue sa soumission et l’amène dans le sous espace. C’est pour cela qu’il se sent impuissant et totalement dépendant de vous.
 
Si vous poursuivez sur cette voie de l’adultère, je vous prie soyez certaine de pouvoir garder votre amour pour lui et de garder votre attention concentrée sur votre soumis. Utilisez l’infidélité pour l’humilier, mais faites bien attention de le faire de façon à l’amener dans le sous espace. Ainsi ce sera une expérience excitante pour lui et pour vous. On dirait qu’il va rentrer dans le sous espace facilement.
 
Utilisez votre libération féminine et votre nouveau pouvoir pour le rendre encore plus soumis. Profitez de cet avantage pour rendre votre mari bien plus soumis encore dans tous les aspects de votre relation. Ne prenez pas de risque et prenez toutes les précautions utiles. Ne le trompez pas avec le premier venu sur lequel vous flashez. C’est quelque chose de sérieux et choisissez avec sagesse. Le simple fait que vous sortiez (sans votre soumis) et prenez du bon temps, est déjà suffisant pour l’amener dans le sous espace. Vous n’avez pas obligation de le tromper afin d’en tirer les bénéfice. Il suffit qu’il croie que vous le trompiez. Laissez le croire à cela et gardez votre attitude dominante.
J’aime vos règles. Si vous voulez en profiter, vous devriez vous procurer ma procédure sur le contrat de mariage. Je pense que vous approuveriez et que les termes et les conditions du contrat vous plairont beaucoup.
 
Q. Mtrs Sutton mon mari et moi vivons sous le régime de la domination féminine depuis neuf ans et nous nous aimons profondément. Il y a un an environ il m’a parlé de son désir d’être cocu. Ma première réaction a été que je ne désirai pas prendre le risque de le perdre et que je ne le voulais pas. Mais depuis que j’ai lu vos pensées sur ce sujet il y a quelques mois, nous en avons reparlés.
Mon mari m’a dit que ce serait sa preuve de soumission ultime et qu’il y pense depuis des années. Il disait qu’il a vraiment besoin de me voir avoir du plaisir avec un autre homme, alors que je le frustre de tout plaisir sexuel. Je crois que je commence à comprendre ce qu’il veut dire.
La pensée d’avoir des relations sexuelles avec un autre homme devant lui pour l’humilier commence à m’attirer beaucoup. Mais j’aime mon mari et ne veut pas le perdre. Alors je veux bien faire les choses. Pouvez vous me donner des conseils et me guider vers cette expérience ?
 
A. Le meilleur conseil que je puisse vous donner est de ne pas vous presser et de prendre votre temps. La plus grosse faute que font les couples et qu’ils laissent l’excitation de l’adultère fausser leur jugement. Jusqu’à ce que l’opportunité se présente d’elle même, je vous conseillerai de continuer à exciter votre soumis à ce sujet. Vous pourriez aussi vous inspirer de ma procédure sur le « contrat de mariage ». Je vous recommande de commander toutes mes procédures, mais au moins la procédure numéro 6, neuf et 22 car elles vous aideront pour explorer le fantasme de l’adultère sans pour autant passer à l’acte.
 
Je me demande si vous n’avez pas à l’esprit une personne avec qui vous pourriez tromper votre mari ? La solution est de trouver un homme qui n’attend pas une relation avec vous. Le challenge dans l’adultère est de trouver un homme qui est en bonne santé et qui le désir, mais qui n’attend pas une relation avec vous en retour. Lisez l’article de Mtrs Lilly dans ma section histoire vraie et elle vous donnera quelques petits trucs pour trouver un tel homme. Faites très attention sur ce qu’elle dit concernant les personnes avec lesquelles vous ne devez PAS tromper votre mari.
Enfin rappelez vous toujours que vous n’avez pas obligation de le faire. Aussi longtemps que votre soumis pense que vous cherchez un amant et aussi longtemps que vous l’excitez avec, le fantasme vous apportera beaucoup d’amusement et d’excitation.
- Vous pouvez même avoir un rdv avec un homme sans avoir de relations sexuelles avec lui.
- Vous pouvez aller en boite et danser avec d’autres hommes en obligeant votre mari à vous regarder.
Ce sont des façons de l’humilier sans avoir de relation sexuelles avec un autre. C’est toujours mieux d’y aller à petits pas et vous pourrez décider que ces petits pas vous comblent assez pour ne pas avoir à faire le grand saut. Mais vous aurez au final à prendre cette décision. Soyez certaine que c’est bien vous qui prendrez la décision et vous ne devez pas permettre à votre mari soumis de vous influencer. Une fois que vous êtes certaine que votre mari est prêt à accepter cela, c’est encore vous la femme qui décidera si et quand vous êtes prête à prendre un amant.
 
Q. Elise, j’apprécie votre sagesse quand vous parlez de l’adultère au sein de la domination féminine. Vous défendez habituellement la position des femmes quand il s’agit qu’elles aient des rdv avec d’autres hommes si leur relation est basée sur la domination féminine. Mais j’ai été suis surpris de votre réponse à une histoire vraie, celle envoyée par un homme nommé « mari obéissant ».
Je suis d’accord avec vous sur le fait qu’il doit communiquer et en discuter avec sa maîtresse. La communication est la chose la plus importante dans tous les mariages et spécialement au sein de ce type de relation D&S. Là où je ne suis pas d’accord avec vous est quand vous dites au « mari obéissant » d’être moins sensible et de rester avec sa femme et se battre pour son affection.
Il écrit que sa femme est pour la suprématie féminine et qu’ils sont tombés d’accord pour un mariage sous l’égide de la domination féminine où il se soumet totalement à elle. Ils ont toujours eu de plus ce type de relation avant et depuis leur mariage. Leur mariage n’est pas un partenariat où ils discutent et trouvent des consensus là où ils ne sont pas d’accord. Elle prend les décisions et il a donné son accord pour les respecter. Heureusement elle prend son avis en compte, mais toujours ses mots ont force de loi. 
Elle a prit la décision d’avoir un amant. Nous pouvons discuter sur le fait qu’elle ait du ou non aller si loin. Mais nous ne devons pas miner son autorité auprès de son mari. Il lui a dit qu’il n’était pas heureux sur le manque d’attention et d’intimité qu’il reçoit d’elle, et il apparaît qu’elle ait pris sa doléance en considération et fait en sorte de trouver une solution où toutes les parties soit heureuses. Elle a vu probablement des tendances féminines dans son mari soumis et je suis sur qu’elle le connaît mieux que tout le monde, alors peut être que sa solution d’explorer son coté féminin le comblera lui quand il se sera rendu à elle en ce domaine.
Il est évidemment difficile de faire des commentaires sur cette situation, car je ne les connais pas personnellement. Mon avis est que quelque soit ses motivation et son jugement, ses mots sont des lois et qu’elle a le droit de prendre ces décisions. Elle peut faire des erreurs (comme nous tous) mais son mari doit toujours se soumettre à elle et lui faire confiance. Elise vous avez dit souvent que la soumission n’est pas seulement se soumettre à ce qui nous plait. Si un homme veut se soumettre vraiment à une femme il doit se soumettre pour le meilleur mais aussi pour le pire. A mon sens il prend le risque de perdre la femme qu’il aime et provoquer des dégâts important si il se rebelle à son autorité et fait appel à ses droits de mari. Il a été d’accord d’abandonner ces droits quand il est entré dans un mariage avec une femme qui est pour la suprématie féminine. Il aurait pu choisir une autre femme et avoir un mariage plus traditionnel. Il a été d’accord pour vivre sa soumission, il doit en supporter les conséquences.
 
R. Je suis d’accord avec vous sur le principe ainsi que sur certains points. Ce gentleman a abandonné sa propre liberté en entrant dans cette relation avec une femme dominante. Il savait de leur relation avant le mariage que cette femme était sérieuse dans sa façon de vivre sa suprématie féminine et qu’elle lui demanderait obéissance et soumission. Cela l’a attiré et il disait même que sa façon d’être dominante et ses convictions et valeur à elle est ce qui l’avait conquis. Alors vous avez totalement raison dans votre introduction. Si un homme est d’accord pour vivre une relation de domination féminine, il doit laisser de coté ses volontés et besoins et se concentrer sur le service de sa femme. Cela signifie qu’il doit se soumettre à sa femme si il est d’accord avec son autorité et même s’il n’est pas d’accord. C’est facile de vous soumettre à quelqu’un quand vous êtes d’accord avec ses décisions mais le vrai test de soumission est quand vous devez laisser vos désirs de coté et vous soumettre aux désirs de votre supérieure que vous soyez d’accord ou non.
  
Cependant ce n’est pas ce que je voulais dire dans ma réponse à cette histoire de ce gentleman. Le mariage est un engagement et un engagement est un contrat permanent. La femme à le droit de prendre les décisions dans le mariage mais elle doit encore honorer sa parole en cet engagement. La femme a l’autorité sur son mari soumis mais cette autorité ne lui permet pas le droit de violer l’engagement qu’elle a prit précédemment. Ce que je disais sur cette histoire est une violation claire de la parole donnée et il a certainement le droit lui de le dire à sa compagne.
 
Comme je le disais dans ma réponse, je félicite la femme de la façon dont elle contrôle son mari et de la manière dont elle intègre la suprématie féminine au sein de leur relation. J’ai aussi souligné le fait que j’avais besoin d’entendre son avis à elle avant de pouvoir faire une évaluation honnête de la situation. Mais me basant sur ce que dit ce mari soumis, j’ai pu en toute conscience recommander qu’il puisse parler à sa maîtresse de cette situation très sérieuse et l’avertir. Ce dont elle a justement pas besoin en ce moment c’est le fait qu’il ignore sa transgression. Si un homme est soumis à sa femme et qu’elle a pourtant de gros problème de boisson ou de jeux, ce n’est pas de la rébellion d’intervenir à ses cotés. LA soumission est une expression de l’amour et parfois l’amour doit être dur.
 
Si ce qu’il a décrit est vrai, sa femme commet l’adultère en préférant un autre homme à son mari. L’adultère n’est pas trop une question de sexe mais de sentiments. Quand une femme passe la plupart de son temps avec son amant mais dénie à son compagnon des contacts intimes, comment appelez vous cela ? Ce n’est pas le faire cocu. Le faire cocu c’est quand une femme mariée a un amant (ou des amants) afin d’exprimer sa liberté et sa domination sur son époux. Cependant, elle doit garder son esprit vers son époux sinon elle lui ment. Je ne dis pas qu’elle ne puisse pas avoir de l’affection pour son amant, comme c’est presque impossible d’avoir des relations intimes avec un homme sans affection. Mais c’est bien différent que de donner son cœur à son amant. Montrez moi un homme dont la femme pense initialement à lui et passe la majorité de son temps libre avec lui et je vous montrerai qu’elle aime.
  
Enfin le mari doit avoir le titre de numéro un pour sa femme. Il n’est pas forcement son seul homme, mais le mariage lui donne la place de numéro un. L’adultère est la rupture du mariage et aucun homme ne doit accepter cela au nom de la soumission.
Le mari et la femme ont besoin d’intimité entre eux. Ce n’est pas nécessairement de la pénétration ou même du sexe physique, comme la D&S peut provoquer de l’intimité entre deux personnes. Fait correctement, le faire cocu peut aussi être un jeu de l’esprit entre la femme et son mari trompé. Il doit y avoir une sorte d’intimité qui fait un lien entre la femme et son mari. Ce couple ne s’engage jamais dans la pénétration, mais le lien s’est fait quand elle permet à son mari de la servir oralement et quand elle pratique des jeux de D&S de façon régulière. Cependant tout cela a stoppé quand elle rencontra son amant. Son amant lui interdit de garder une intimité avec son époux et elle se soumet à ses souhaits. Si cela n’est pas une violation claire de leur promesse de mariage, alors je ne sais pas ce que c’est.
 
Je n’ai aucun souci avec le bracelet Ankh et ce qu’il représente. Je n’ai aucun problème avec le fait qu’elle ait un amant et interdit l’orgasme à son époux. Cette situation donne à cette femme une vraie opportunité pour amener son époux à un nouveau niveau de soumission envers elle et lui permet d’accroître son contrôle sur lui. Cependant (et probablement de façon inattendue pour elle), la relation avec son amant a été trop loin et elle a franchit cette ligne dangereuse. Je dois encore entendre son avis, mais je prie pour qu’elle fasse le nécessaire pour corriger cette situation. Son mari l’aime et je prie pour qu’elle puisse retourner vers le genre d’intimité du mariage sous l’égide de la domination féminine qu’ils leur plaisaient tant.
 
Mes dames écoutez bien ce que je dis là. C’est un point critique. Si vous décidez de tromper votre mari, vous devez examiner votre cœur et vos motivations. Si vous n’êtes pas amoureuse de votre mari, vous n’avez aucune raison d’explorer l’adultère. Si vous vous sentez seule ou si vous sentez que votre mari ne comble pas certains besoins dans votre vie, ce ne sont pas des raisons de le tromper.
Vous devez tromper votre mari car vous savez qu’il est soumis et qu’il répondra positivement à cette sorte d’humiliation. Vous devez le connaître et déterminer si le faire cocu l’amènera dans le sous espace. Vous pouvez le savoir en le titillant sur le fait que vous pourriez prendre un amant et voir sa réaction. Est ce que cela l’excite ? Est ce que cela le rend plus soumis ? Cela le mettre t’il plus encore à vos pieds sans défense ? Si oui, alors oui cela peut être une activité que vous pourrez explorer avec lui.
 
De votre coté, il est naturel d’aimer les rdv avec d’autres hommes et d’avoir des relations sexuelles avec eux. C’est aussi normal de ressentir quelque chose pour ces hommes avec qui vous êtes intime. Mais vous devez voir l’adultère comme une activité de D&S entre vous et votre mari. Même s’il s’agit de sexe physique entre vous et votre amant, il s’agit encore d’un acte de D&S entre vous et votre mari. Tromper est un outil qui vous permet de jouer sur l’esprit de votre compagnon afin de repousser ses limites et l’amener encore plus loin dans sa soumission envers vous. Votre compagnon doit aussi aimer cela. Autrement c’est du mensonge et vous prenez de graves risques avec votre relation.
 
Je suis pour la libération des femmes. Je suis pour toutes les expressions de cette libération dans la société et envers leurs compagnons. L’adultère peut être un moyen puissant pour exprimer cette libération mais si seulement le compagnon est prêt à cela et si seulement il est le point focal de cela. Je suis une partisane dévouée de la suprématie féminine et j’aime quand les femmes poussent les hommes toujours plus loin et leur demande d’avoir le contrôle sur eux. Cependant je suis aussi l’avocate des promesses de mariage. Je crois au mariage et je crois que les femmes dominantes ont besoin de chérir leur compagnon soumis. La D&S est une façon de renforcer les liens du mariage. Toute activité qui pourrait faire du mal à cette union ou violer les engagements est une erreur.
 
Avec l’autorité s’accroît la responsabilité. Les hommes ont eut a tort cette autorité pendant des siècles et en ont abusés. Les femmes ont une moralité plus grande et elles doivent combiner l’éducation et l’amour avec leur autorité. Si les femmes ne prennent pas en compte les besoins de leur compagnon et si elles mésusent de leur autorité, le mariage ne sera pas mieux que si c’était l’homme qui le dirigeait. Je pour la suprématie féminine et je crois vraiment que la société et les institutions (y compris le mariage) sont bien mieux quand les femmes les dirigent. Mais avec ce pouvoir vient la responsabilité. Les hommes ont prouvés qu’ils ne respectaient pas leurs engagements. Quand les femmes gagnent le pouvoir et du contrôle, elles doivent montrer aux hommes ce qu’est l’autorité aimante. Les hommes ont envie de se rendre aux femmes. Les femmes peuvent accepter et utiliser cela pour le bien commun des deux sexes.


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Par LO - Publié dans : La compréhension
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