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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Les pratiques

Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 08:57
Bonjour,
 

Merci pour votre blog sur la suprématie féminine que j'apprécie beaucoup. Mariée depuis 18 ans, je domine mon mari depuis 3 ans. Nous y trouvons tous les deux beaucoup de plaisir. Des humiliations qui sont toujours valable avec les hommes sont celles concernant leurs pénis. Mes moqueries à ce sujet sont très efficaces. Comme il m'arrive de lui faire porter une cage de chasteté, je me suis amusé à ne lui laissé se masturber qu'une fois par semaine, mais après 1 minute, stop on remet la cage!

La première semaine il repartait frustré. La deuxième semaine il éjaculait en 40 secondes. J'ai alors réduit le temps à 30 secondes. Ne voulant pas repartir frustré, il a juste réussi à éjaculer dans les temps. Ce petit jeu a duré 3 mois. Pour finir je ne lui laissais que 15 secondes et il y arrivait.

Lui qui n'était déjà pas endurant (entre 1 et 3 minutes de pénétration), Quand je lui ai laissé le plaisir de me faire l'amour, il a craché en 10 secondes. Ce qui m'a bien fait rire. Il est devenu éjaculateur précoces. J'entretiens cette précocité qui m'assure sa docilité absolue car c'est pour lui une grande humiliation. Que pensez-vous de ce genre d'humiliation?

De mon coté, ça fait longtemps que, quand j'ai envie que ça dure, j'utilise mes godes et sa langue qui sait bien me faire jouir. 

Ce qu'il souhaite depuis longtemps c'est que je couche avec un autre homme. Jusqu'à maintenant je ne l'ai pas voulu. Mais j'avoue que quand je vois un bel homme, je suis parfois tentée. Comme je fonctionne au feeling et qu'on a une grande complicité avec mon mari, je ne précipite rien. Bises à toutes

Sylvie
 

Réponse Ms.Dana :

 

Et oui, les humiliations qui les touchent sont souvent en rapport avec leur petite chose qui pend entre leurs jambes.

C’est amusant je répondais justement à la question de Thérèse sur le fait qu’elle s’inquiétait que son soumis portant une cage n’avait plus d’érections. Et là vous donner la solution : « je me suis amusé à ne lui laissé se masturber qu'une fois par semaine, mais après 1 minute, stop on remet la cage! ». Et évidemment, cela augmente sa frustration surtout si vous vous y prenez bien.

De plus j’ai une question d’une dominatrice qui voulait savoir comment rendre son mari soumis « éjaculateur précoce ». Et bien vous décrivez parfaitement bien une méthode.

Ce que je pense de cette humiliation. Je la trouve excellente !.

Il faut savoir qu’un soumis qui ne peut plus satisfaire sa maitresse en la pénétrant si elle le laisse encore faire, va apprendre très vite que sa queue est devenue totalement inutile et qu’il peut l’oublier. Et qu’il devra vitre assimiler qu’il va devoir la satisfaire autrement par bien des moyens tout aussi plaisants, voir bien plus. Et qu’il aura tout intérêt à s’appliquer, s’il veut encore avoir la joie et l’honneur de pouvoir servir sa maitresse ainsi.

Croyez moi c’est très efficace, et le soumis devient petit à petit castré mentalement, si tel est votre bon plaisir.

 

Je répète que chaque maitresse fait comme il lui plait. Certaine auront envie d’avoir des rapports avec leur petit soumis et l’éduqueront à être très endurant sans avoir le droit de jouir. D’autres préfèreront interdire ou, comme vous, apprendre par l’humiliation à leur soumis que cette forme de sexualité n’a plus lieu d’être pour eux. Que les rôles ont vraiment changés, et qu’il est souvent temps alors, d’inverser au sens propre la place de chacun et de prendre à votre tour votre soumis. Là vous pouvez être certaine qu’il n’aura plus aucun doute sur votre pouvoir et sur sa place.

Cela se comprend très bien que vous ayez envie de virilité, votre soumis ne pouvant plus vous satisfaire ainsi. Alors ne vous gênez pas, faites le quand vous en aurez envie. Faites le si vous en avez envie. Mais attention à ne pas oubliez qu’un Amant est pour le plaisir, pas pour les sentiments, pas pour une vie commune.

Mais je comprends très bien que vous ne précipitiez rien. Je vous donne totalement raison. Car avoir un amant est avant tout pour humilier plus encore votre soumis, et l’enfoncer plus encore dans la soumission. C’est un jeu mental, plus que physique.

Donc garder cette envie, garder l’œil ouvert sur les opportunités, amusez-vous à flirter à vous faire séduire, embrasser, toucher. Profiter de chaque étape tout en les faisant partager à votre soumis quand le moment sera venu, s’il vient. En parler à bien souvent un effet très proche que de le faire.

Aller simplement à votre rythme et faites ce qui vous plait. 

Par LO - Publié dans : Les pratiques
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Jeudi 2 février 4 02 /02 /Fév 18:01

Je suis une jeune femme de  27ans, je suis inscrite depuis quelques mots sur le site, j'apprends énormément de chose. Je souhaiterais rencontrer des dominatrices de la région Lilloise 59. Je désirerais des conseils et pouvoir partager mes expériences.
Je tiens également à vous féliciter pour votre site très intéressant.
En attente de vous lire.
Cdt, Leelou.

Réponse Ms.Dana :

Et bien Leelou je ne peux que vous donner 1000 fois raison. C’est étonnant comme il est difficile en France de créer de groupe d’amies dominantes, et de les organiser. Il semble que nous ayons un esprit très souvent individualiste, et que partager avec les autres ne soit pas facile.

Et pourtant, et pourtant l’apport est indéniable. Je ne passe pas une journée sans écrire ou recevoir des emails des amies dominatrices de mon cercle de Femme. Nous avons tissé des liens de complicité, de confiance et d’intimité très grands. De plus, nous prenons exemple sur chacune pour progresser, et nous passons des soirées très agréables que ce soient seules au restaurant (où nos soumis nous amène sans être pour autant conviés), ou lors de soirées chez les unes ou les autres. Alors je ne saurai que vous pousser toutes à trouver autour de vous d’autres femmes qui vivent ce mode de vie.

Pour aider à notre humble niveau, nous avons fait une page « LES CERCLES de FEMME » où vous pouvez trouver les autres dominantes qui ont eut le courage d’écrire pour faire partie d’un cercle.

Evidement, cela ne se construit pas en un jour, évidemment ce n’est pas forcement évident d’avoir des affinités, mais croyez-moi le jeu en vaut la chandelle, et cette liste de candidate, nous espérons vivement qu’elles se regrouperont. Si vous voulez en joindre une, il suffit de nous le dire et nous lui transmettrons votre email afin d’assurer l’intimité de chacune.
Par LO - Publié dans : Les pratiques
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Mercredi 1 février 3 01 /02 /Fév 18:01

Preparation.

Le chef de mon mari nous invita à une soirée costumée pour Halloween. Nous sommes allés dans une boutique de déguisement pour y trouver notre bonheur. On me montra un costume tout de cuir vêtu avec un masque noir de chat avec oreilles, et un fouet. Je l'essayais et j'eu l'air tres sexy, à la michelle pfieffer. J'obligeais mon mari à prendre un costume de Batman qui pendait à coté (il en voulait un de zorro).

La battaille de Gotham City.

J'étais prête pour la soirée. J'y ajoutais mes propres bottes de cuir noires à talon et pointes, ce qui me rendit reelement sexy au possible. Je louais le retour de Batman et le regardais la nuit précedent la soirée afin que je connaisse vraiment mon personnage. Je me suis bien amusée à cette soirée, mais la nuit suivante fut encore plus amusante. La soirée c'etait le samedi et nous ne devions rendre les costumes que le lundi matin.

Le dimanche soir, je décidais que c'etait le moment de jouer un peu nos roles. Quand mon mari rentra du golf, j'avais disposé son costume de Batman avec une note dessus lui indiquant de le mettre et de venir dans la chambre. Je l'avais déja bien dressé, alors il m'obéit même quand je lui donne des ordres un peu fou.

Quand il arriva dans la chambre, je sortis des toilettes portant mon costume de Catwoman. Je lui dis que je prenais le controle de Gotham City et que ma premiere mission etait de faire de Batman mon esclave soumis. Je le frappais à la poitrine avec ma botte de cuir et le fit tomber sur le lit. Je pris ensuite mon fouet et je commencais à le fouetter. Ce qu'il ne savait pas c'est que je m'etais bien entrainée dans l'apres midi au fouet, et que j'etais devenue assez bonne à ça.

Même s'il portait son costume, il sentit la douleur de mon fouet. Il me pria d'arreter le fouet. Je me moquais de lui d'être une telle larve et de ne pas se defendre. Il essayay de se lever, mais à chaque fois qu'il essayait, je le repoussais avec mes bottes sur le lit et je lui donnais un autre coup de fouet.

Il finit par devenir vraiment enervé (ce que je voulais) et il attrapa le bout du fouet et me tira vers lui sur le lit. Il commenca à se lever, mais je roulais, me remis sur pieds et lui frappais un bon coup dans ses bourses. Il se plia sur le lit avec un douleur vive. Je sautais sur lui et lui dis que j'allais çà présent découvrir la vraie identité de Batman. J'enlevais son masque et dit "oh toi, cette larve si riche Bruce Wayne. Bien Bruce, tu n'es rien d'autre que mon esclave à partir de maintenant" Je pris mes menottes et je l'attachais au lit. J'otais le reste de son costume et lui mis un beau cock ring autour de son sexe, qui lui faisait bien ressortir ses boules.

Je lui fit lecher mes bottes pointues. Avec mes mains gantée je torturai son pénis et le serrai tres fort ses bourses pour les rendre violettes. Wayne demandait pitié. Je mis des pinces sur ses seins et attachais les chaines qui partait des pinces à celle qui tenait le cockring. Cela tira sur les deux objets de bondage et ne fit qu'augmenter la douleur.

Je mis mon plus gros god ceinture. Je lui dis que Catwoman allait le dominer une fois pour toute, et je lui fis relever les jambes vers sa tete. Je pris mon paddle et je frappais son cul d'abord. Puis je lubrifiais mon god, et moi, Catwoman, j'enculais Bruce Wayne bien profond. Alors que je faisais cela, je l'obligeais à dire que que c'etait Catwoman qui dirigeait desormais Gotham City et que Batman etait desormais son esclave à jamais. Puis je libérais Wayne et lui fit déshabiller Catwoman pour adorer son corps. Je gardais mon masque bien sur, car je ne voulais pas qu'il connaisse ma vraie identité. Il me fit jouer avec sa langue et j'ai eut un des plus bel orgasme de ma vie.

Bon il est vrai que ce jeu de role nous couta cher, car quand nous avons ramené les costume, nous avons decouvert que le costume de Batman etait abimé à cause du fouet. Nous avons du l'acheter et il etait pas donné. On se décida alors à acheter aussi celui de Catwoman. A présent Batman peut etre l'esclave de Catwoman des que je le décide !

RETOUR

 

 

Par LO - Publié dans : Les pratiques
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Mercredi 1 février 3 01 /02 /Fév 17:05
Preparation.
 
J’ai été dans une vente aux enchères d’une école et j’ai acheté un vieux bureau d’écolier ainsi qu’un tableau noir pour quelques euros. J’ai fait une petite classe au sous-sol avec le bureau, le tableau, et un bureau plus grand qui était déjà là.
 
J’ai mis une blouse blanche, une mini jupe en cuir et des talons aiguilles. Portant déjà des lunettes, j’avais vraiment le look. J’avais aussi une lourde règle de bois et une règle en fer, que je plaçai dans le tiroir du bureau de la maîtresse.
 
Discipliner l’écolier.
 
Je fis asseoir mon mari sur la petite chaise alors que j’étais debout devant le tableau noir et que j’inscrivais le sujet de cours : la suprématie féminine. Je demandai à mon élève Daniel de lire son devoir pour expliquer à la classe ses tâches domestiques, afin de donner un exemple de la suprématie féminine.
 
Quand il avoua qu’il n’avait pas fait ses devoirs, je me fâchai. Je l’humiliai verbalement, lui dis qu’il n’était qu’une merde et un garçon paresseux. Je lui dis qu’il allait être puni pour ne pas avoir fait son devoir. Je le fis venir devant la classe et écrire 100 fois au tableau « les femmes sont supérieures aux hommes ». Alors qu’il le faisait, je l’humiliai devant la classe en lui expliquant combien il était un mec typique, faignant et qu’il avait besoin d’être mené à la baguette.
Son écriture devint très brouillonne et j’avais du mal à la lire, alors je lui ordonnai de rester après la classe pour nettoyer le tableau.
 
Je le grondai pour m’avoir déçu. Je lui dis qu’il avait besoin d’une bonne fessée. Je lui ordonnai de baisser son pantalon et son slip, puis je pris les règles dans mon tiroir. Je le courbai sur le bureau et lui administrai une sévère fessée.
 
Au départ, j’utilisai la règle en bois. Quand son petit derrière fut bien chaud et rouge, je pris la règle en métal et le frappai durement avec. Je continuai à le gronder pendant que je le fessais.
 
Après la fessée, je le fis relever et le mis au coin un moment. Puis je lui ordonnai de se mettre à genoux devant moi, d’embrasser et lécher mes chaussures. Je lui expliquai que c’était la place des hommes, et qu’il aurait intérêt à commencer à s’y faire. Je lui fis lécher ma jupe et je pouvais sentir sa langue à travers. Je lui ordonnai de se déshabiller, puis d’avoir une érection afin que je puisse examiner et déprécier son pénis. Je pris ma règle en bois et commençai à lui frapper le pénis avec. Il gémissait vraiment et sautait de douleur.
Puis je me déshabillai, et lui dis de rendre hommage à mon corps et de lécher ma chatte, et qu’il aurait intérêt à le faire bien. Il fit un bon travail. Je m’allongeai sur mon bureau et mis sa tête entre mes jambes. Il assura. Je décidai de lui attribuer une note médiocre. Je lui expliquai que c’était la meilleure qu’un mâle puisse obtenir dans ma classe. Que je ne pouvais donner des bonnes notes qu’aux femmes supérieures. 
 
Par LO - Publié dans : Les pratiques
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Mercredi 1 février 3 01 /02 /Fév 16:58
Préparation.
 

Préparation.

 

J’ai demandé à mon mari de nettoyer une petite pièce dans notre sous sol. Je lui ai tout fait enlever en lui expliquant que j’avais besoin de la pièce pour quelque chose de spécial. Quelques jours plus tard j’organisai avec lui une rencontre dans un endroit sombre d’un parking public. Je lui ai expliquai que c’était une surprise.

 

 

 

 

 

L’enlèvement.

 

Sa voiture se gara à côté de la mienne dans le coin le plus reculé du garage abandonné. Je portais un masque de cuir, mon chapeau de la gestapo, des lunettes noires, une gabardine.

 

 Je m’adressai à lui comme s’il était un étranger et lui demandai s'il pouvait m’aider à soulever un carton pour le retirer du siège arrière de la voiture. Tandis qu’il était penché, je l’ai poussé visage contre siège. Je me suis assise sur lui, le bloquant contre le siège et lui mettant une de mes paires de bas dans la bouche. Je sortis une paire de menotte de ma poche et je le menottai dans le dos. Je lui plaçai un bandeau et l’informai qu’il était kidnappé.

 

 Je retournai à la maison et garai la voiture à l’arrière. Je lui dis de ne pas essayer de s’enfuir, ou qu’il serait blessé. Je lui plaçai un collier et l’amenai en laisse à la cave.

 

 Je le guidai jusqu’à la petite pièce qu’il avait nettoyée pour moi. Je le mis nu, coupant sa chemise avec une paire de ciseaux, et le poussai sur une chaise au milieu de la pièce. Je l’attachai solidement à la chaise et enlevai son bandeau. Ses mains étaient encore menottées.

 

J’enlevai ensuite mon pardessus pour montrer que je ne portais dessous qu’un soutien-gorge en cuir, une slip lanière en cuir, une jarretière en cuir, et des bas. Je gardais mon masque et mon chapeau.

 

 Je lui dis qu’il était mon prisonnier et que j’allais appeler sa femme pour qu’elle retire tout l’argent du compte en banque et le mettre dans un sac noir déposé dans une poubelle d’un parc. Sinon elle ne reverrait jamais son mari. Je fis le coup de téléphone imaginaire devant lui afin qu’il entende les détails. Je lui dis de déposer l’argent à minuit.

 

Je dis ensuite mon prisonnier que je le pensais pas mal foutu et que j’allais le forcer à me donner du plaisir. Mais que j’allais d’abord le torturer car je n’aimais pas les hommes mais adorais les punir. Je mis mes chaussures à talons et posai mes pieds sur une caisse en bois en face de lui. Je le forçai à se pencher vers l’avant et à me lécher chaussures et pieds. Puis avec mes chaussures je lui écrasais doucement le pénis contre le siège. J’enfonçai même un peu son pénis et ses bourses avec mon pied, lui causant de la douleur.

 

Puis je commençai à l’humilier verbalement et à le gifler. Je lui dis que si sa femme ne déposait pas le paquet, je le garderais comme esclave sexuel permanent. J’éteignis ensuite les lumières et remontai, le laissant assis seul dans le noir. Je le laissai ainsi environ une demi-heure puis revins.

 

 J’apportai ma cravache et mon fouet à neuf queues. Je le détachai du siège et le poussai contre le mur froid. J’accrochai ses menottes au plafond, puis lui donnai une série de coups de fouets très durs sur les fesses et les jambes. J’alternai fouet et cravache. Je le détachai, lui enlevai les menottes et le poussai dos par terre sur le sol froid. J’écartai les jambes et le forçai à adorer mon corps. Je plaçai les différentes parties de mon corps sur son visage et je lui ordonnais de les lécher. Je collai ma poitrine sur son visage, puis ma chatte couverte du string en cuir, puis je m’assis sur son visage et l’étouffai avec mes fesses. J’enlevai le string et lui fis lécher mon cul et ma chatte. J’écartai les jambes sur son visage et lui donnai une douche d’or. Ensuite je lui ordonnai de nettoyer ma chatte avec sa langue.

 

 Puis je lui donnai un saut d’eau chaude et savonneuse, une éponge et lui ordonnai de se laver. Je lui remis les menottes. Je le tirai ensuite par la laisse hors de la pièce vers une grande table, au sous-sol. Je le fis allonger dessus et le tirai par la laisse pour qu’il colle bien son visage sur mon sexe. Je lui ordonnai de me brouter longuement et eus plusieurs orgasmes.

 

 Je le rattachai ensuite à la chaise. Il était 23h30 et je lui dis que je devais aller chercher l’argent. Je montai et me changeai avant de quitter la maison pour une demi-heure. Je revins avec un sac noir et lui dis que sa femme avait obéi. Je lui donnai un long baiser passionné avant de le détacher. Je le conduisis par la laisse à l’arrière de la voiture et lui jetai ses vêtements, puis retournais au parking. Là je le gratifiai d’un dernier baiser avant d’enlever ses menottes et le poussai hors de ma voiture avant de démarrer. J’avais porté mon masque toute la soirée.

 

 Quand il revint à la maison, j’étais de nouveau sa femme. Je l’engueulai d’avoir été stupide au point de se faire enlever. Je lui dis qu’il m’appartenait désormais car je lui avais sauvé la vie. En retour il devrait être mon esclave personnel et il pouvait commencer de suite en me rendant hommage avec sa langue. Le pauvre chéri, être dominé par deux salopes dans la même soirée … 

 

 
 
Par LO - Publié dans : Les pratiques
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