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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Samedi 25 février 6 25 /02 /Fév 06:19
De Dieter B:
 

Chère Ms.Sutton, merci pour ce merveilleux site et la façon dont vous le gérez.

Je voudrais vous parler de mon éducation pour vous montrer que l’enfance détermine la façon dont un garçon comprend le don qu’est l’autorité féminine. Plus tard dans ma vie ce fut naturel que ma femme prenne le dessus et devienne le chef de famille. A présent je vie un mariage heureux depuis plus de 30 ans. Nous l’avons fait nous même, sans autre information concernant ce style de vie. Le résultat est à peut prêt le même, même si nous n’avons jamais utilisés les termes domination et soumission, mais plutôt chef, Dirigeante, Reine … et dévotion, adoration. Nous ne connaissons tout simplement pas ces mots.

Je suis allemand, alors pardonnez moi si je fais des erreurs de langage.

Je suis né en Allemagne en 1949. Ma mère avait 40 ans et mon père 42. J’ai été élevé avec ma sœur âgée de deux ans de plus que moi. J’ai trois autres sœurs mais elles sont nées avant la seconde guerre mondiale alors elles sont bien plus âgées et je n’ai pas de souvenir d’avoir vécu avec elles. L’Allemagne était pauvre et détruite par la guerre et mes parents avaient tout perdu pendant celle-ci, mais fort heureusement ils étaient en vie et leurs enfants aussi.

Peut’ on douter qu’Ulysse traitait le Déesse Athéna comme supérieure à lui ? Non, je ne le pense pas. Mais sans aucun doute Ulysse était un homme fort, un héro même.

Pour moi la suprématie de la femme était établie comme une vérité dès ma tendre enfance, avant même que je n’ai eut conscience que les désirs sexuels existent. J’ai grandis avec l’expérience quotidienne d’un père adorant ma mère, pas simplement avec des mots mais aussi en l’aidant et en prenant soin d’elle autant qu’on puisse le faire. J’aimais voir ma mère rougir sous sa courtoisie, et j’aimais et admirais mon père de la rose merveilleuse qu’il fit de ma mère. Ma mère plaisantait gentiment de l’attitude de mon père. Ce jour je peux dire qu’elle l’excitait exprès. Elle trouvait aussi tout le temps des raisons de le traiter comme son chevalier. Je l’aimais, quand elle était fière de dire a mon père qu’il était son héro et j’’aimais voir mon père évoluer à la lumière de cette fierté. Il était l’homme le plus heureux du monde. Même un petit garçon peut garder comprendre et garder cela dans son cœur.

Est-ce que cela a à voir avec la suprématie féminine ? N’est ce pas juste une histoire romantique ? Les deux je crois. Ce que j’ai décris est l’atmosphère dans lequel j’ai été élevé, mais mon père m’a appris avec cette Force de persuasion impressionnante, que seuls les hommes sous la direction des femmes peuvent devenir heureux et réussir en même temps. Il m’a dit que les femmes nous sortiraient du mal des civilisations et que l’humanité se porterait bien mieux si moins d’hommes avaient le pouvoir de la violence. Il m’a dit que les vrais hommes doivent lutter par tous les moyens pour la liberté de leurs épouses, et se soumettre à l’autorité naturelle de leur femme. Je croyais mon père, il était mon modèle, et notre vie familiale me prouvait qu’il avait raison. Même si j’étais aussi sauvage qu’un garçon puisse l’être, envers les femmes j’essayais de copier l’attitude de mon père comme le font les petits garçons et en fut récompensé au delà de toute mesure. J’étais le petit chéri de toutes les femmes et l’ami de confiance des filles.

Il n’y eut aucune note sexuelle dans mon éducation. Ma mère dirigeait la maison avec fierté. Je crois que l’on peut comprendre qu’un garçon ait sa vie formée quand une mère aimante le couvre de baiser et de joie, l’appelant « son petit héro ». Ma mère n’a jamais demandée de soumission directement et elle n’en avait pas besoin. Pour nous les enfants c’était la chose la plus naturelle du monde de lui demander les permissions. Nous avons appris qu’une mère pouvait revenir sur les décisions du père, mais qu’un père ne devait jamais changer les décisions de la mère. Et il y avait bien des décisions sérieuses à prendre.

C’était peu de temps après la guerre et l’Allemagne était bien pauvre. Mes parents avaient bien des préoccupations et ils parlaient souvent en notre présence de leurs problèmes. Cela ne nous faisait nul mal à nous les enfants, car ils ne se lamentaient pas, mais parlaient sérieusement et positivement. Ce que nous avons appris ; Quand il y a une solution, il n’y a plus de problème. Ma mère décidait toujours mais le présentait plutôt sous forme de suggestion que mon père acceptait toujours. Il disait souvent ; « Tort ou raison, de toute façon tu as toujours raison »

Ma sœur bien sur était la princesse de mon père. Mais j’étais le petit héro de ma mère, alors le monde était merveilleux. C’est certain pour un garçon c’est pas toujours amusant d’avoir une sœur plus âgée de deux ans. Si quelqu’un dans la famille me donnait le sentiment de me dominer, c’était ma sœur. Mais c’est souvent ce que vivent les garçons, alors ce n’était pas la fin du monde. On avait pas le droit de se battre, alors nos luttes se passaient avec des mots, encore ces disputes étaient ‘elles interdites en présence des parents, mais arrivaient néanmoins. Quand ma mère était présente elle disait juste avec ses mots à elle ; « J’attends que vous arrêtiez cela de suite », et cela nous calmait instantanément. Avec mon père c’était plus dur, car il disait habituellement ; « je t’en prie d’arrête d’embêter ta sœur, un homme cède toujours ».

Un jour que je trouvais que l’injustice était trop grande j’ai crié ; « Noooooon, elle est si méchante ». Puis je quittais la chambre, en claquant la porte. Papa me suivit. Il n’était pas en colère contre moi mais il dit d’une voix douce : « tout ce que tu feras aura deux effets ; un extérieur et un intérieur. Alors quand tu perds ton self contrôle le monde s’en apercevra et tu le sentiras. Les gens ne te respecteront pas si tu perds le contrôle. Alors où est le bénéfice de ton action ? »

Je suis resté têtu même si j’étais hésitant : « mais c’est si injuste quand Rosi m’embête et que tu dis que je dois arrêter ». Papa a caressé ma tête : «Qui t’as dit que la justice était toujours équitable ? Non mon garçon, ce serait te tromper. Je vais te dire un secret ; Quand ta mère m’embête je l’aime encore plus, car tout ce qui vient d’elle est un cadeau pour moi. Je crois que tu peux comprendre cela, n’est ce pas ? ». J’approuvais, car quand maman m’embêtait je ne ressentais jamais de mal, mais du plaisir. « Tu vois », continua papa, « Rosi ne veut pas vraiment de faire du mal, elle suis juste l’exemple de sa maman, car sa mère est son vrai modèle. Si tu étais une fille, ne voudrais tu pas lui ressembler ? ». Cela me paraissait compréhensible, mais je n’étais pas encore satisfait : « mais quand maman est là, elle ne permet jamais à Rosi de m’embêter » dis-je, « bien sur que non » dit mon père, « car elle t’aime tellement qu’elle ne peut supporter de te voir souffrir. N’oublie pas que tu es son rayon de soleil. Mais est-ce que ce ne serait pas bien si tu la surprenais ? Lui montrer que tu sais garder ton self contrôle de plus en plus, comme un vrai homme le fait ? ».

Wow, c’était une tache merveilleuse ca ! Pour surprendre maman ! Et j’ai ressenti là que ce serait si facile e pour moi de faire comme un vrai homme. Mais bien sur, une sœur est une chose terrible pour les nerfs d’un garçon et cela a pris des années et bien des discussions avec papa  

 

A cette époque c’était courant de travailler et d’être payé en liquide à la semaine. Tous les vendredi papa ramenait l’argent à maman et recevait d’elle quelques pièces pour lui, comme on reçoit de l’argent de poche. Est ce que c’est mal ? Bien sur que non, c’était simplement naturel que le cœur et le chef de famille contrôle l’argent.

Comme ma mère était aussi le cœur de la famille, je comprends facilement ce qu’est la vraie beauté. Un jour il me glissa dans l’oreille « regarde comme ta mère est belle, elle pense avec son cœur. Elle te tricote un pull-over et cela la met en joie ». Oui elle était si belle et je la regardais admiratif. Elle leva les yeux, car elle avait sentis nos regards. Elle vit comment on la regardait et rougit. Et j’appris ce qu’était la beauté.

J’ai eu une enfance merveilleuse et je sais combien un garçon peut être heureux et épanoui dans un monde dirigé par les femmes. J’ai lu tant de livre, de sagas grecque, de livre de chevalerie etc, et là encore je trouvais la même chose : les hommes forts sont guidés par les Déesses et les Reines. Les hommes forts tombent à genoux et baissent la tête devant les Déesses et les Reines, leur dédiant leur amour et leur vie. Rien n’était plus facile à comprendre que cela.

Papa me donna de nombreux exemple pour me faire comprendre leur rôle dans la vie. Il m’apprit aussi, qu’une fois que je serai marié, ma femme et non ma mère aurait à être au dessus de moi. Ironiquement la vie nous apprend que cela est aussi vrai : Environ un an après mon mariage, nous avons rendu visite à mes parents quelques jours. Ma mère et ma femme planifiaient le jour suivant et ne nous demandaient pas notre avis. Ma mère finit par dire : « tu pourras aller où tu veux, mon fils restera avec moi ». Ma femme avait les larmes aux yeux. C’était la première fois de ma vie que je fus en colère contre ma mère, et donc contre mon père. Les deux « héros » perdirent leur contrôle et je rompais avec mes parents pendant presque un an jusqu’à ce que ma femme me fit me réconcilier avec eux. Tout fut de nouveau merveilleux, mais je crois que cet épisode était nécessaire à ma mère, pour lui faire comprendre qu’à présent il y avait une autre Reine dans ma vie. Cela a du être difficile à accepter pour elle, même pour une personne aussi compréhensive qu’elle.

Je pense encore que mes parents étaient à part en bien des aspects, mais dans un domaine ils étaient comme ceux de leur génération : Aucune initiation sexuelle. L’environnement et l’époque étaient asexuels Je n’ai jamais vu mes parents ou quiconque d’autre nu, et la dernière fois que je vis ma sœur nu c’était avant même que je rentre à l’école.

Alors j’étais assez innocent arrivé à la puberté. J’avais ressenti des excitations dans mon enfance, mais là elles étaient bien plus fortes mais je ne pouvais les empêcher.

Pendant la puberté, j’ai réalisé autre chose, quelque chose de mystique concernant les filles. Quelque chose que je ne pouvais pas saisir, mais qui m’a fait souffrir. Je voulais partager cette beauté féminine. Je ne voulais pas être une fille, mais être une partie d’elle pour me faire peur. Les filles en général me font cet effet là. Tout d’elles est beauté mystique, leur visage, leur corps, leur façon de se déplacer, de parler, de rire, la façon qu’elles ont de me regarder, tout me submerge de beauté. Etre avec les filles était pour moi un privilège, mais je passais la plupart de mon temps avec les garçons, à jouer au football, à faire du judo, etc. Mais la « vie sexuelle », comme de se masturber dans les toilettes et d’être collé aux photos des catalogues de lingerie, me semblait affreux et primitif. Je me masturbais aussi mais je n’avais pas de fantasme, je le faisais pour le plaisir. Quand j’ai eu 14 ans j’ai reniflé pour la première fois une culotte sale de ma sœur. L’odeur piquante me fit bander et je me masturbais pour la première fois pour une raison précise.

 Plus je grandissais moins j’aimais la façon dont mes amis parlaient des filles. Mais j’aimais danser et pas eux. Alors j’étais entouré de filles et n’éprouvais aucune envie de rejoindre mes copains au bar. C’était l’époque des Beatles, le disco commençait, et la libération de la femme était un sujet d’actualité.

A l’âge de 17 ans je perdais ma virginité avec une fille de 22 ans. Elle était très compréhensive et m’aida dans mon embarras en me montrant la façon qu’elle aimait. Elle était le guide et j’étais au paradis. Lui faire l’amour me donna l’illusion un moment que j’avais atteint ce que je recherchais depuis toujours, en étant une partie d’elle même, étant une partie de l’infinie beauté féminine qu’elle représentait à mes yeux. Mais je n’ai pu garder ce sentiment, il me toucha un moment et puis s’évapora.

Ensuite je rencontrais une femme et nous nous sommes vite aperçu que nous étions fait l’un pour l’autre. J’étais devenu un étudiant, un grand jeune homme, confiant en lui, bavard etc. de ceux qui sont fier de leurs talents. Cela resta un moment jusqu’à ce que ma copine (ma femme actuelle) réalise que l’adoration que je lui portais n’était pas juste un comportement pour aller dans son lit, mais qu’elle était vraiment ma Déesse. Cela prit encore beaucoup de temps pour qu’elle surmonte son impression que son devoir féminin était de me faire jouir. Je lui dis encore et encore, que rien ne m’excitait plus que de la voir épanouie. Lui donner son plaisir m’excitait au plus haut point. Finalement elle le comprit et devint plus active et plus demandeuse (je me demande pourquoi les femmes deviennent plus en demande de sexualité quand elles réalisent qu’elles dominent) et attendant de moi que je lui donne avant son plaisir ; cela devint la normalité dans notre couple, et j’en étais heureux. Bien sur j’aimais avoir des orgasmes mais je ne suis pas un violeur. En général si la femme n’est pas excitée je ne désire pas avoir mon plaisir. Cette simple pensée m’embarrasse, de savoir que je fais tout pour lui donner du plaisir alors qu’elle attend juste que j’aie fini, c’est la mort de mon désir.

 

Puis vint la chose la plus merveilleuse de ma vie ; Elle était sur le lit, se masturbant et moi lui titillant les sein, lui léchant l’anus, le sexe et ses doigts virevoltants. Plus elle avait envie plus je la servais bien avec ma langue. Quand elle commença à gémir et à bouger son corps tout mon être était concentré à son bonheur. Je ne sentais pas mon corps, je n’en avais pas. Je n’avais plus de pensé, plus de cerveau. Je ne ressentais plus qu’une chose, l’importance de sa jouissance qui venait. J’étais un simple objet léchant, comme ses mains étaient des simples objets servant à sa masturbation. JE DEVINS UNE PARTIE D’ELLE MEME !!!!! Comme elle était perdue dans son désir, je l’étais aussi. Perdu dans sa soif de plaisir, pas dans la mienne. Je n’étais pas là. Je n’existais plus en temps que personne. J’étais une partie d’elle même. C’était tellement intense que je ne compris ce qui m’arrivait qu’après son orgasme et quand mon esprit émergea de nouveau dans mon corps. Mais je fus dans l’incapacité de parler un long moment.

Mon Dieu, j’étais une partie d’Elle, j’avais vécu la beauté de la féminité, c’est comme savoir ce que le paradis signifiait. Depuis 30 ans c’est le plus haut degré de sexualité que j’ai vécu. Comparé avec cela l’éjaculation n’est rien pour moi. J’ais besoin de mon sexe pour faire pipi, autrement il appartient à ma femme. Cela devient important quand elle voulu jouer avec, l’avoir en elle. Si elle veut autrement que je lui fasse plaisir, elle me permet d’avoir une meilleure chance de faire partie d’elle. C’est bon la pénétration, mais je n’ai jamais vécu ce que l’on peut lire à droite ou à gauche, qu’un couple fusionne quand un homme éjacule. Cela me sépare plutôt de ma femme en raison des tensions fortes du corps, chose qu’on ne peut aisément ignorer.

Le fétichisme de ma femme est de mordre. De mon épaule à tout le corps, tout est valable pour sa faim de tigresse. Lascivement elle couvre mon corps de baiser, me mordille doucement, et soudainement me mord durement. Longtemps et vraiment durement. Je n’ai pas le droit de me protéger (parfois je suis attaché) et de faire plus de bruit qu’un gémissement. Une variante consiste pour elle à me regarder dans les yeux pendant qu’elle pince l’intérieur de mes cuisses très fortement. (Mon dentiste est surprit de la douleur que je peux supporter. Mais je lui dis que je fais comme les femmes au moment de l’accouchement, je respire fortement). Elle adore en plus le Queening. C’est un rêve devenant réalité pour moi de me réveiller et de sentir mon visage si prêt du paradis et son odeur me ramène au pays du paradis.

J’ai fondé et dirigé 4 sociétés. Ma femme n’a pas d’entreprise car elle n’a pas de travail régulier, mais elles lui appartiennent à 100%. J’adore la voir marcher dans les couloirs de mes entreprises, alors qu’elle sait qu’elle en est propriétaire. Et j’adore la voir traiter les gens gentiment et être amicale avec les employés et jouir d’un sentiment de pouvoir, car tout le monde connaît et respecte le fait qu’elle en soit propriétaire. Aucune porte ne lui est fermée, et aucune réunion n’est si importante qu’on ne puisse prendre le temps de l’accueillir avec respect quand elle vient.

J’aime follement ma femme et je ressens son amour. J’aime son talent naturel pour me faire comprendre à moi et aux autres qui dirige sans les écraser. Alors c’est si facile pour moi, et pas simplement au lit, de tomber sous sa dépendance et direction et de jouir de sa beauté. Toutes femme qui sait qu’elle est supérieure est plus belle, et ma femme est la plus belle pour moi. Peut être que notre façon de vivre la suprématie féminine est’ elle un peu vieillotte. D’un autre coté, il n’y a quasi aucun autre homme qui vit depuis plus que mes 57 ans sous l’autorité féminine. Alors je suis béni, béni par les Déesses.  

 

Réponse d’Elise:

Dieter, j’aime l’histoire de votre vie. C’est une belle histoire, romantique et cela met bien en valeur l’essence de ce style de vie. Ce n’est pas vieillot. Cela montre comment les hommes devraient voir et traiter les femmes. Votre père vous a instillé de merveilleuses valeurs et vous les avez conservées au sein de votre mariage.

Vous êtes vraiment un homme béni. Vous aviez une mère et un père merveilleux et à présent vous avec une merveilleuse femme. J’espère que votre histoire va encourager d’autres hommes à élever leurs garçons avec cette révérence envers leur femme, comme votre père avec votre mère.

Votre femme et vous avez un mariage d’amour basé sur la domination féminine. Ce n’est pas une question de pratique de D&s dans votre intimité. Ce qui compte avant tout c’est l’attitude. Vous la voyez comme supérieure et comme une Déesse et vous la traiter en conséquence. Et elle a été capable d’embrasser son rôle dominant tout en vous traitant avec amour et avec le respect que vous méritez.

Merci d’avoir partagé avec nous, je vous souhaite a vous deux des années de bonheur.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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