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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Lundi 13 mars 1 13 /03 /Mars 11:12
Q. Elise vous indiquez que vous n’avez pas d’enfants. Mon mari et moi avons deux enfants de 6 et 10 ans. Comment suggérez-vous que nous vivions notre mode de vie D&S avec des enfants à la maison ?
 
A. Il est important que vous protégiez vos enfants innocents, que vous les exposiez pas à n’importe quelle sorte de sexualité ou d’activité de domination entre vous et votre époux. Vous devez permettre à vos enfants de grandir normalement et vous devez les protéger pour qu’il ne voient ou n’expérimentent pas tout ce que leur âge ne leur permet pas de voir et d’expérimenter. Alors ne pratiquez votre D&S que quand les enfants sont ailleurs et que vous êtes loin d’eux.
Je vous suggère d’acheter un coffre cadenassé pour y ranger votre matériel et vos vêtements. Fermez-le bien. Cela ne diffère pas de l’acte sexuel traditionnel, que vous ne faites pas si les enfants sont derrière la porte.
Vos séances seront donc bien plus importantes car elles seront plus rares. La femme devra s’assurer la totale obéissance de son compagnon grâce à ces séances, afin qu’elle puisse lui inculquer comment elle entend qu’il se comporte dans la vie quotidienne. Elle lui assignera toutes les tâches domestiques utiles.
Si la femme utilise avec intelligence ces sessions, elle peut garantir que son mari lui montrera le respect nécessaire en présence des enfants et qu’il sera un bon père pour eux. Si jamais il fait quelque chose qui ne lui plaît pas à elle, elle pourra le lui rappeler lors de la prochaine session. Cela signifie moins de discussion en présence des enfants et donc que ceux ci vont grandir dans une maison pacifique et harmonieuse.
Puis quand les enfants grandiront et quitteront la maison, vous pourrez faire en sorte que votre relation de D&S profite de cette nouvelle liberté. Jusque là, protégez vos enfants en étant discrets.
 
 
Q. Elise je sais que ce n’est pas mon problème, mais je le demande quand même. Pourquoi n’avez-vous pas d’enfant ? Vous indiquez que c’est votre choix, je demande cela simplement car nous n’en avons pas nous même et que nous en avons assez des gens qui nous demandent pourquoi, et même notre famille qui nous considère comme égoïste.
 
A. Je sais bien ce que c’est. J’ignore votre âge, mais les questions et les commentaires sur le fait de ne pas avoir d’enfant s’arrêtent en général à 40 ans. J’aime les enfants, et j’aime être parmi eux. Mon âge favori est entre 3 et 9 ans. J’ai des neveux et nièces et je joue un grand rôle dans leur éducation. Je passe beaucoup de temps avec eux. Et le dimanche je donne des cours. J’aime les enfants.
Mais je n’ai jamais désiré en avoir. Certaines femmes existent pour avoir des enfants. Moi non. Mon mari en voulait mais j’ai été claire avant notre mariage. Si j’étais tombée enceinte nous aurions eu un enfant. Cela aurait pu arriver aussi dans les premières années de notre mariage. Quand je l’ai eu initié à ce style de vie, les pénétrations sont devenus rares. Même au début de notre union, nous utilisions des préservatifs. Je ne voulais pas être enceinte. Quand nous avons été profondément impliqués dans ce style de vie D/s, je fus vraiment contre le fait d’avoir des enfants. J’aimais trop notre style de vie. C’est peut-être pourquoi j’ai embrassé si vite la philosophie de la domination féminine et interdit à mon mari de me pénétrer. Je ne voulais pour rien au monde que nous cessions ce style de vie magnifique. Certains diront que c’est égoïste. Mais une femme qui veut des enfants l’est autant à la réflexion. J’admets l’être un peu mais cela ne veut pas dire que je n’aime pas les enfants.
Une autre chose : j’aime les animaux. J’ai deux chiens et nous les traitons comme nos enfants. J’aime en prendre soin et les dresser. Je ne les compare pas aux enfants, mais je les aime et y fais attention. Je souhaiterais que les gens aient moins d’enfants et s’occupent d’au moins un animal domestique.
En conclusion, je n’ai pas d’enfant car je n’en ai jamais souhaité.
 

 Q. Chère Elise, la suprématie féminine, ça va jusqu’à où, et qu’attend-on d’un mâle ?
Je demande cela car je rêve d’être avec une femme dominante, et bien que l’idée qu’elle puisse me traiter salement, constamment me déprécier ou m’infliger des tortures cruelles me laissent froid. Est-ce que toutes les relations D/S signifient que l’homme doit donner tout ce qu’il a ? Je ne veux pas paraître effronté en disant cela, mais je suis intéressé, et je ne sais vraiment pas ce qui est attendu. Ce n’est pas ma faute si je suis né mâle, mais je rêve de me soumettre.
Et puis comment voyez-vous les femmes dominantes élevant les enfants ? Ce n’est pas que mon opinion ait beaucoup d’importance pour vous, mais j’espère qu’ils seraient élevés de la même façon. Je n’aimerais pas qu’il y ait des différences, avec à l’esprit que tous les enfants sont innocents. J’espère que vous comprenez mes sentiments.
 
A. Je répondrai en premier à votre seconde question car elle est très importante. La D&S doit se faire entre deux adultes consentants. Les enfants ne doivent jamais y être mêlés. Les adultes doivent protéger l’innocence des enfants et ne jamais jouer ou pratiquer leur style de vie devant eux. C’est pour cela que je recommande que les couples mariés se procurent un coffre pour ranger leur affaire D&S et ne l’ouvrir que quand les enfants sont loin de la maison. Les garçons et les filles doivent être traités de la même façon, pour leur permettre de se développer à leur façon. Les enfants doivent se soumettre aux deux parents comme un gardien masculin doit avoir de l’autorité sur une jeune femme mineure car sa sagesse et sa maturité lui procurent cette autorité.
Le mariage sous l’égide de la domination féminine devrait encourager l’harmonie à la maison et la femme devrait gérer son mari et son comportement. Le mari doit montrer du respect à la femme et ne jamais discuter ses ordres. Il doit obéir à la femme d’une manière révérencieuse pour que l’harmonie existe à la maison afin de permettre aux enfants de s’épanouir. Si la femme dresse bien son mari pendant les sessions cela assurera un mari obéissant et un père aimant. Les enfants respecteront leur père aimant leur mère, étant un bon citoyen responsable, faisant les tâches ménagères de la maison et passant du temps de qualité avec eux. C’est un très bon exemple de modèle masculin pour les garçons et les filles. Les enfants noteront aussi que c’est la mère qui dirige et cela aidera grandement la fille car elle sera moins influencée par les schémas sociaux stéréotypés du rôle de l’homme et de la femme.
Aucun des parents ne devrait parler de sa sexualité ou de son style de vie à ses enfants, même quand ils deviennent matures. Chacun de nous sommes des individus et nous devons explorer et découvrir notre sexualité par nous-mêmes le temps venu. Les parents sont obligés de partager les éléments de la vie avec leurs enfants et les encourager à avoir un code de moralité. Cependant ils ne devraient jamais discuter D&S ou domination féminine. Leurs enfants découvriront tout cela naturellement le temps venu. Un homme soumis n’a pas besoin d’avoir eu des parents lui expliquant ce style de vie. Son désir se développera et sa nature se dévoilera.
Cela amène à votre autre question. Vous confondez le fait de permettre à un homme de vivre ses fantasmes et réaliser ses désirs de soumission avec le fait de le traiter comme un citoyen de seconde zone. La soumission et l’esclavage sont un style de vie volontaire. On parle là d’un homme abandonnant tout pouvoir à sa Reine et Déesse. C’est un acte de dévotion au genre féminin. Rien n’est forcé ou ne peut l’être. C’est une condition du cœur.
La femme discipline, domine, et humilie l’homme afin de satisfaire ses désirs à lui et de l’entraîner à mieux la servir elle.
J’explique ce phénomène dans un certains nombre de mes réponses aux questions. Les femmes ne sont pas meilleures que les hommes. Je n’ai jamais dit que les femmes sont meilleures que les hommes ou qu’elle ont une plus grande valeur. Ce que j’ai dit c’est qu’elles sont supérieures (au dessus des hommes, avec un caractère plus fort, faites pour les diriger, avec des atout pour les éduquer et faites pour leur fixer des règles).
Une femme dresse un homme pour qu’il soit une personne meilleure, un meilleur mari, un meilleur père. Elle casse l’agressivité du mâle et canalise sa force à son service à elle, et vers l’humanité dans son ensemble. Les mâles sont agressifs, voire violents. La force et l’agressivité peuvent être bénéfiques si elles sont canalisées vers les bons besoins. N’ayez pas honte d’être un homme. Les hommes sont de belles créations et sont très spéciaux. Chaque personne est unique et spéciale, vous compris. Vous avez juste besoin de trouver une femme que vous pourrez servir.   

 
Q. Grâce surtout à votre site, j’ai choisi de vivre ce mode de vie qu’est la domination féminine. Tout c’est passé comme vous le décriviez, et je ne peux me souvenir d’une période de ma vie où j’ai été plus heureuse. Mon mari m’a montré votre site avec l’espoir que j’essaierais. J’ai dépassée ses attentes les plus sauvages et il est à présent mon soumis complet et serviteur.
Nous avons deux garçons de neuf et onze ans. Je les aime plus que ma vie et j’ai suivi vos conseils avisés en leur cachant ce mode de vie et en ne pratiquant que quand nous sommes seuls à la maison. Je crois à la discipline des enfants et nous pratiquions la discipline aimante avec eux bien avant avoir choisi ce nouveau style de vie. Mon mari et moi venons de familles où l’on nous a appris les bonnes manières et nous avons été éduqué à travers des fessées et le conditionnement de plaisir en fonction de notre attitude. Nous avons la même approche avec nos enfants et ils sont devenus deux petits garçons bien éduqués.
Cependant, depuis que j’ai pris les rennes du mariage et depuis que je vois mon mari comme mon soumis et servant, je ne lui permets plus de punir les garçons. Je pense simplement que ce n’est pas le droit d’un mâle soumis de donner des fessés aux enfants. J’administre moi-même toute la discipline et les punitions de nos enfants quand ils ont fait des bêtises. Cela ne renforce pas seulement le fait que pour mes garçons (et mon mari) c’est maman qui dirige la famille, mais je pense aussi que j’entraîne mes garçons à accepter l’autorité féminine. Je crois que d’être disciplinés par leur maman seulement, leur donne une meilleure chance de devenir des mâles soumis comme leur père, ce que je leur souhaite vraiment pour eux.
Mon dilemme est le suivant. D’un coté je fais mon possible pour cacher notre sexualité à nos fils et j’essaye de leur permettre de grandir comme des petits garçons classiques. Mais d’un autre coté, je me sens une obligation de leur instiller l’attitude appropriée de respect et de soumission envers les femmes et le genre féminin. Après tout, les parents incluent leurs convictions religieuses, politiques et leur point de vue personnel sur la société et le monde à leur enfants, alors pourquoi pas moi ? J’en suis venu à croire fortement en la suprématie féminine et en la matriarchie. N’ai-je donc pas le droit de leur instiller mes croyances et ma philosophie en ce qui concerne ce style de vie ? Bien sûr j’évoque des aspects non sexuels de ce style de vie, du respect de l’autorité féminine et de la direction par la femme.
Cela m’amène à ma dernière question. Quand j’ai fait votre psycho-analyse sur mon mari, j’ai découvert quelque chose d’intéressant et peut-être de profond. L’événement qui a peut être planté la graine de sa soumission envers les femmes dans son enfance , fût une fessée qu’il reçut de sa mère alors qu’elle ne portait qu’un soutien-gorge et des collants. Apparemment elle était en train de s’habiller quand mon mari a fait quelque chose de mal, alors elle ne prit pas le temps de finir de se vêtir et elle le mit en travers de ses cuisses pour lui administrer une fessée. Sa mère était une belle femme et il n’a jamais oublié cet incident, alors qu’il devait avoir 10 ans. Cette révélation me fait penser à la façon dont je devrais m’habiller quand je discipline mes garçons. Quelle est la tenue appropriée qu’une mère devrait porter quand elle punit ses garçons ? Est-ce que ce serait une erreur de m’habiller sexy avec l’espoir que cela leur instille la graine de la soumission ?
 
R. J’ai eu de très nombreux clients qui ont des souvenirs analogues concernant leur mère ou un responsable féminin qui les avait en charge. Les femmes sont libres dans leur maison et en général ne pensent pas vraiment à ce qu’elles portent devant les enfants. De nombreux hommes se souviennent de leur mère portant uniquement un soutien-gorge et des collants, ou un string et des bas, alors qu’elle les disciplinait. Comme pour la mère de votre mari, de nombreuses femmes ne pensent pas à la façon dont elles sont vêtues quand leur garçon fait une bêtise dont elles pensent qu’elle mérite punition. La maman peut être en train de s’habiller quand un de ses fils rentre dans sa chambre, pleurant et se plaignant d’une dispute avec son frère, alors l’instinct de maternel prend le dessus et elle réconforte l’enfant qui pleure tout en déterminant si quelqu’un a besoin d’une punition. La maman peut être à moitié habillée ou même moins quand l’incident se produit. Certaines femmes sont plus familières que d’autres avec leurs enfants.
Je suis d’accord avec vous sur le fait d’instiller votre philosophie et votre vision du monde à vos garçons en ce qui concerne la façon dont ils devraient voir les femmes, mais vous devez le faire d’une façon non sexuelle. Apprenez à vos garçons à respecter les femmes et apprenez leur la façon de traiter une fille quand ils approchent de l’âge des premiers rendez-vous. Entraînez les à être de jeunes gentlemans et le reste devrait venir tout seul. De plus, le fait de voir votre mari vous traiter avec le respect nécessaire leur donne le bon état d’esprit pour qu’ils deviennent le type de jeune homme que vous souhaitez.
La façon dont vous êtes habillée quand vous punissez vos garçons dépend totalement de votre propre conscience. Mon conseil est de les punir quelle que soit la façon dont vous êtes vêtue. Pour ma part, je n’irais pas me changer à ce moment-là. Mon avis est que vous ne devez pas vous soucier de cela mais vous focaliser sur la façon correcte de les punir. La plupart du temps, une fessée n’est pas nécessaire. Enlever un privilège ou gronder un enfant peut être aussi efficace qu’une fessée. Particulièrement si l’enfant à plus de 10 ans. Vous ne pouvez pas cependant ne plus les fesser, particulièrement si la faute ou la rébellion est grande chez le garçon. Ce qui m’amène à la bonne façon de fesser un enfant. Comment une maman devrait-elle fesser un enfant ?
D’abord, ne le faites jamais si vous êtes en colère ou bouleversée. Envoyez-les dans leur chambre et accordez-vous un moment pour vous calmer. Faites-en sorte qu’il sachent qu’ils vont avoir une fessée, afin qu’ils puissent y penser pendant que vous vous calmez. Puis prenez un instrument pour la fessée. Je recommande un paddle en bois, une cuillère en bois ou une brosse à cheveux. Quand vous rentrez dans leur chambre, faites leur baisser leur pantalon et faites-les mettre en travers de vos cuisses. Ne frappez jamais un enfant qui cherche à s’enfuir ou qui n’est pas dans la bonne position pour être puni. Si l’enfant est encore rebelle, je suis ok pour l’attraper doucement et le disposer sur vos cuisses. Ensuite, fessez-le avec des coups légers mais fermes et seulement sur ses fesses. Ne frappez jamais un enfant ailleurs que sur ses fesses. Le nombre de coups devrait être fonction de l’importance de la faute.
Après la fessée, dites-lui de penser à ce qu’il a fait et pourquoi il a été puni. Quittez la pièce environ 5 minutes. Puis revenez dans sa chambre, prenez-le dans vos bras et dites-lui combien vous l’aimez et que maman ne l’a puni que pour son propre bien. Donnez-lui plein de bisous. La façon dont vous fessez est plus importante que la façon dont vous êtes habillée. Etre juste une femme qui punit son fils aidera à développer la fibre soumise qui est présente dans chaque mâle. Apprenez à chaque garçon à être un gentleman et le monde ira bien mieux.

 Q. Bonjour. Permettez-moi de prendre une minute pour me présenter. Je suis une femme bi de 38 ans, mariée à un homme de 4 ans plus jeune que moi. Nous sommes dans une relation D&s depuis presque 3 ans à présent. Il m’est totalement soumis. Je le fesse et lui torture un peu le sexe et les seins (il est très excité par les pinces), il fait les tâches ménagères nu ou féminisé, et je le fais cocu. Je ne le fais pas beaucoup sans lui, mais occasionnellement, et j’ai par deux fois ramené un homme à la maison pour qu’il nous regarde faire, et en une occasion il nous a servi les boissons au séjour. Ma question vient d’une de vos réponses que vous avez données précédemment. Vous conseilliez à une femme de ne pas pratiquer son style de vie devant ses enfants. Je suis d’accord avec le fait qu’aucune activité sexuelle de couple ne devrait être pratiquée devant les enfants. Comme vous, mon mari et moi n’avons pas d’enfant, mais j’ai une fille de 16 ans sexuellement active qui vit avec nous. C’est une jeune femme assez étourdissante, et j’ai envie de l’amener dans la relation. Je pense que ce serait assez érotique de la voir le dominer, rire de lui, et l’humilier. Je sens aussi que ce serait très dégradant et humiliant pour lui.
Je l’imagine habillée d’une jupe en cuir qu’elle possède avec une paire de bottes. Je lui ferais faire des tâches domestiques à mon mari pendant que ma fille et moi parlerions, ferions peut-être quelques allusions en riant doucement de lui pendant qu’il bosse. Finalement, je le ferais venir et bander pour moi en face d’elle et je pointerais du doigt sa masculinité en riant et disant « vois l’effet que je te fais ». Elle l’exciterait et ferait peut être quelque comparaison défavorable avec les pénis des garçons de la fac. Elle dirait peut-être «ça ressemble à ceux des élève de l’école primaire, est-ce qu’il bande jamais ? ». A ce moment, je le ferais peut-être se masturber pour elle. Dans tous les cas, je donnerais pouvoir à ma fille sur son sexe et son orgasme et il le ferait pour nous satisfaire toutes les deux.
Pensez-vous que c’est inapproprié pour une fille de 16 ans ? Comme je le disais plus tôt, elle est déjà active sexuellement et elle et moi sommes très ouvertes sur ce sujet. Pensez-vous qu’il puisse y avoir quelque mal dans ce que je vous ai décrit ? J’espère que vous me répondrez et je vous remercie pour votre site magnifique. Il est passionnant pour moi et je suis certaine qu’il aidera de nombreuses femmes et hommes, comme il nous aide.  
 
R. Pourquoi ai-je le sentiment que c’est votre mari qui vous a suggéré cette idée ? Votre fille est mineure et il est illégal pour votre mari d’avoir une relation sexuelle avec elle. De nombreux hommes sont en prison pour avoir vécu le genre d’activité que vous suggérez avec des filles de 16 ans. Qu’elle soit active sexuellement ou pas.
Elle est trop jeune pour ce que vous suggérez. En outre, votre mari n'est pas digne de servir sexuellement votre fille. Vous ne devriez pas lui donner ce privilège. Quand votre fille sera adulte, vous pourrez la faire servir par votre mari de façon domestique. Vous pourrez vous asseoir avec elle et lui expliquer la domination féminine et comment dominer votre mari, et vous pourrez lui permettre de le dominer de façon non sexuelle. Ce sera votre décision quand le temps sera venu.
En ce qui concerne votre fille, si elle est sexuellement active, assurez-vous d’avoir une conversation avec elle sur le fait qu’elle est une Déesse et assurez-vous qu’elle comprend que son corps est un temple et qu’aucun homme n’a le droit d’attendre du sexe d’elle. Elle doit toujours attendre des hommes qu’ils la traitent comme une Reine et elle a besoin d’apprendre que l’acte sexuel est fait pour son plaisir et non pas pour celui de son petit copain.
A 16 ans, elle ne devrait pas avoir de rapports sexuels avec les garçons. Elle a toute la vie devant elle et comme vous le savez, avec l’âge, le sexe devient meilleur pour les femmes. J’aurais horreur de voir son futur si prometteur altéré par un garçon qui n’est pas digne de votre fille. Si vous ne l’avez pas fait encore, assurez-vous qu’elle comprenne tout cela.
C’est l’âge parfait pour commencer à discuter des aspects non sexuels de la suprématie féminine et de la domination féminine avec votre fille. Les jeunes filles ont besoin d’attendre que les hommes les traitent avec respect. Le sexe doit être gardé pour ce garçon spécial qui lui prouvera sa valeur en dehors de la chambre avant qu’il lui soit accordé le privilège de la servir dans la chambre. Aidez-votre fille à développer une bonne image d’elle-même et le reste devrait venir de lui même. 

Q. Ma femme était une merveilleuse dominatrice qui est morte voici deux ans d’une rupture d’anévrisme. J’étais amoureux d’elle depuis des années quand elle m’a dit qu’elle m’épouserait sous deux conditions : Que je reste toujours chaste et obéissant, et que je ne lui demande rien concernant le sexe. J’ai été d’accord et nous avons passés 13 heureuses années ensemble.
La deuxième année de notre union elle donna le jour à deux jumeaux, un garçon et une fille qui ont à présent 11 ans. Depuis sa mort, j’essaye de les élever comme elle aurait voulu. Je travaille à présent à la maison pour avoir plus de temps pour eux. Ils sont bien éduqués et heureux, sauf bien sûr quand ils pensent à leur mère. Ma femme croyait que dieu était une femme. Elle leur a appris à dire merci à la Déesse, et nous avons pris l’habitude de la prier ensemble tous les jours. Je perpétue cette tradition. Je crois que non seulement cela aide mon fils à apprendre à respecter les femmes, mais cela donne à ma fille de la fierté d’être une femme. Cela nous réconforte aussi tous.
Bien que je croie profondément en la supériorité des femmes sur les hommes, et que j’essaye de traiter mes deux enfants de manière égale, et je leur donne autant d’attention à chacun. Je ne vois aucune façon pourtant d’essayer de leur inculquer les idéologies féministes. Ils savent que je soutiens la cause féminine, et je mentionne occasionnellement que les choses seraient meilleures dans un monde où les femmes auraient le pouvoir. J’ai aussi des magazines féministes et ma femme avait une grande collection de livres sur la matriarchie et son histoire, qu’ils consultent souvent. Je sais qu’ils se souviennent combien j’étais obéissant envers leur mère et quand je vais vers les femmes, je suis toujours très respectueux et déférent. J’aimerais savoir si je suis sur la bonne voie. Est-ce que j’en fais trop ? Pas assez ? Avez-vous des suggestions ? 
 
R. Vous avez tout l’air d’un très bel homme et j’admire votre amour et l’attachement à votre femme et à ses enfants. Je pense merveilleuse la façon dont vous l’honorez en élevant ses enfants comme elle l’aurait souhaitée. Vous l’aimiez visiblement énormément et vous avez été béni de passer ces 13 années avec elle. A présent vous pouvez canaliser votre attachement pour elle vers ses enfants. Vous avez fondé votre mariage sur la servitude et vous pouvez donc la servir encore en élevant et aimant ses enfants. Je pense que vous donnez un bel exemple de la pure soumission du mâle et les hommes peuvent prendre exemple sur vous. Mon seul conseil est que vous viviez votre futur tout en honorant votre passé. Ne vous interdisez pas de rencontrer une autre femme pour la servir. Vous mettez ses enfants au premier rang de votre vie mais cela ne signifie pas que vous ne puissiez pas rechercher une autre relation. Un homme comme vous a beaucoup à offrir à une femme. Un jour, ces enfants seront adultes et devront être indépendants. Ils pourront ou ne pourront pas choisir la même voie dans leur vie que vous et votre femme. Tout ce qu’un parent peut faire est d’instiller à ses enfants les valeurs auxquelles ils croit. Aux enfants ensuite de faire leur propre choix de vie quand ils deviennent adultes.
Il est admirable de se sacrifier ainsi pour ses enfants et j’espère que vous pourrez continuer à le faire. Mais pensez à votre avenir. Quand vous serez prêt, vous aurez besoin de chercher une autre femme que vous pourrez servir avec le même attachement. Vous êtes vraiment sur la bonne voie avec cette façon d’élever ces enfants et je vous souhaite à tous trois le meilleur.

Q. J’ai lu sur votre site l’histoire d’un homme qui avait perdu sa femme et qui éduquait seul ses enfants. Il tente de les élever avec des idéaux féministes. Il dit aussi que cela aide son fils à respecter les femmes, et sa fille à être fière d’être une femme. Bien que ce soient ses enfants et qu’il ait ses croyances, ne devrait-il pas juste leur apprendre la fierté de qui ils sont et le respect de l’humanité tout entière quel que soit son sexe ? Ne devraient-ils pas avoir le choix de découvrir eux-mêmes leur propre orientation quand ils grandiront ? Est-il bien approprié pour des parents d’élever leurs enfants, même d’une façon non sexuelle, dans le l’optique de la suprématie féminine ?
 
R. Avez-vous des enfants ? Ne leur instillez-vous pas vos croyances religieuses et politiques ? Combien de parents n’influencent pas leurs enfants politiquement et spirituellement ? Est-ce que les parents demandent à leurs enfant « A quelle église veux-tu aller ce dimanche ? » Non, les parents amènent leurs enfants à l’église de leur croyance.
Pourquoi la plupart des gens défendent-ils les même idéaux que leur parents ? Parce qu’ils en ont appris les valeurs par leurs parents. Bien sûr, vous devez encourager vos enfants à penser librement et vous devez toujours les soutenir quel que soit leur choix de vie. Mais il est naturel pour les parents d’élever leurs enfants avec les mêmes valeurs qu’eux. Ce sera aux enfants de décider les valeurs qu’ils défendront quand ils deviendront adultes.
Ce gentleman a simplement continué à élever ses enfants de la même façon que leur mère les élevait quand elle était en vie. Il l’a fait comme un cadeau pour elle. Je crois que c’est merveilleux. Aussi longtemps qu’il donne aux deux enfants autant d’attention et d’amour, aussi longtemps qu’il leur permet de garder leur innocence en ne les exposant à rien de sexuel, je ne vois aucun problème à élever les enfants dans les valeurs de leur mère. Vous pouvez choisir de ne pas élever ainsi vos enfants, et j’aurais pu ne pas élever mes enfants ainsi, mais nous sommes en démocratie et les parents ont encore le droit d’éduquer leurs enfants avec leur religion personnelle, leurs idéaux politiques et sociaux. Auriez-vous ainsi réagi s’il les avait amenés dans une église patriarcale ? La plupart le sont. Vous sentez-vous concerné par toutes les filles à qui l’on apprend que Dieu est masculin et que les femmes doivent se soumettre à leur mari ? La plupart des religions le professent et elles en ont le droit. De même ce gentleman a le droit d’éduquer son fils en lui inculquant les valeurs d’une société matriarcale et en lui disant que Dieu est une femme. Nous pouvons ne pas être d’accord avec la philosophie de sa femme mais nous devons être d’accord avec le fait qu’elle a le droit de l’avoir. Tout homme qui aime assez sa femme pour élever ses enfants en fonction des souhaits de la défunte (et peut-être même à l’encontre de ses siens) devrait avoir notre respect et notre admiration. S’il instille à son fils le même genre de loyauté, de caractère et de dévotion, son fils devrait devenir un jeune homme très bien. 

 Q.  J’ai été élevé dans une maison dirigée par une femme, et qui pratiquait la suprématie féminine. J’ai appris à obéir et à servir ma mère et ma sœur. Puis j’ai rencontré une merveilleuse femme dominante et me suis marié. Nous avons un grand mariage et je lui suis définitivement soumis. J’essaye toujours de faire au mieux pour elle. Nous sommes tous les deux satisfaits. Je suis aussi très content que ma femme s’entende très bien avec ma mère et ma sœur. Nous avons aussi un fils de 4 ans.
Ma question concerne mon fils. Ma femme veut le féminiser afin de l’éduquer selon les règles féminines. Elle vient de commencer il y a quelques semaines. Elle l’habille avec des vêtements de fille, ne lui permet plus de couper ses cheveux, l’encourage à jouer à la poupée et avec d’autres jouets de filles. Elle dit que dans un an elle lui apprendra le maquillage. Ses ongles sont polis et elle lui montre le rouge à lèvre.
J’ai toujours obéi aux souhaits de ma femme, mais j’ai des réserves concernant la féminisation d’un petit garçon. Je pense que cela peut nuire à son psychisme. Bien sûr je désire avoir un garçon respectable ayant un cœur bon et, bien sûr, je ne peux m’opposer à ma Maîtresse. Je ne suis pas très bien renseigné sur tout cela, alors je ne peux avoir de certitude. Laissez-moi vous dire ma gratitude.
 
R. Je suis de votre avis sur ce sujet. Il est bien d’élever un garçon à respecter l’autorité féminine aimante et de laisser les femmes diriger, mais vous devez lui permettre de grandir à sa façon et lui laisser ses propres choix sexuels et sociaux quand il sera mature. Votre femme essaye de le forcer à se féminiser en prenant des mesures avec lesquelles je ne suis pas d’accord. Ces pratiques sont parfois utilisées chez des féministes extrémistes.
Votre femme prend le risque d’avoir un sérieux effet de retour quand il grandira. Au lieu d’aimer les femmes, il pourrait bien choisir la direction inverse. Il est mieux de le laisser choisir seul, de le guider avec amour. Elle devrait plutôt lui apprendre les vertus de l’autorité féminine, et il apprendra bien plus en vous regardant interagir avec sa mère qu’il ne le fera par son approche à elle. S’il vous voit vous soumettre avec humilité à sa mère et s’il voit la façon dont vous traitez les femmes avec déférence et respect, il y a des chances pour qu’il grandisse aussi dans ce respect et cet admiration des femmes. Sa nature soumise peut être cultivée par sa mère à travers la discipline et l’amour, pas par cette féminisation forcée.
S’il choisit de lui-même de jouer avec des poupées et des jouets féminins, c’est très bien de le lui permettre et de l’encourager. Mais s’il veut jouer au foot ou avec ses copains, alors vous devriez aussi le lui permettre. Laissez sa nature se développer d’elle-même, à son rythme. Le travail des parents consiste à éduquer les enfants et à leur instiller des valeurs positives avec amour. L’enfant jugera en dernier ressort votre style de vie par l’amour et l’harmonie qu’il constatera dans votre maison.
Vous pourriez vouloir montrer à votre femme ma réponse et j’espère qu’elle reconsidèrera et réexaminera son approche dans l’éducation de son garçon. Comme elle, j’ai envie que les garçons grandissent dans le respect des femmes et dans l’apprentissage de la soumission. Cependant, je crois qu’elle trouvera que mon approche est plus saine. Son fils doit découvrir de lui-même sa nature soumise, en son temps et à sa façon. Elle a besoin d’être là pour l’aimer et le guider, et vous avez besoin d’être là pour lui apprendre par l’exemple
Par LO - Publié dans : La compréhension
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