Articles Récents

Afin de permettre une navigation facile, utilisez les liens directement sur les RUBRIQUES du sommaire.

 

Si vous voulez nous poser des questions, ou nous faire part d'expériences vécues, faites nous un email à : mon_univers_4@hotmail.com

CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

Mercredi 16 février 3 16 /02 /Fév 09:19

Frederic.P  18/12/07  



Bonjour Maîtresse,
 


Il y a quelques temps, je me suis arrêté sur votre excellent site. Depuis longtemps, je voue une passion sans limite à la suprématie féminine. Sur ordre de ma Maîtresse femme, je me suis permis de vous envoyer ma dernière expérience de soumission en sa compagnie.
 

Mon épouse et moi sommes mariés depuis 18 ans, elle a 44 ans et moi 50 ans. Depuis le début de notre mariage nous pratiquons la domination féminine accompagnée de quelques séances SM, mais le week-end seulement et de temps en temps. J’aimerais bien être son soumis continuellement, mais en semaine ce n’est pas sa tasse de thé. Le dimanche matin, dès mon lever, je dois me mettre entièrement nu, un collier de chien autour du cou, et des menottes qui relient mes chevilles. Dans cette tenue, je dois lui apporter son petit déjeuner au lit. Pendant ce temps là, je prépare la salle de bain, la tenue vestimentaire sexy qu’elle m’a ordonné de préparer, un tailleur en cuir noir, un chemisier blanc qui sera rehaussé d’une cravate, sans oublier le large ceinturon qui lui confinera sa taille de mannequin. Par contre, elle me laisse la liberté de choisir sa lingerie, lingerie qu’elle m’oblige à lui acheter, deux fois par mois, ce qui me prive financièrement pour subvenir à mes loisirs et à mes besoins. Avec entrain, J’astique ensuite ses cuissardes, en pensant que je vais devoir souvent les embrasser pour la remercier. Quand elle a eu terminé de manger, j’ai débarrassé le lit et j’ai filé dans la cuisine pour faire la vaisselle de la veille et celle du matin. Quant à ma Maîtresse, elle s’est préparé pendant des heures, car elle adore me faire languir. Sur une feuille de papier, elle a écrit tous les travaux ménagers que je devais exécuter pendant la journée et jusqu’au soir. Il était notifié en bas de la feuille, que je pourrais aller me coucher, seulement après avoir accompli tout mon travail. Après la vaisselle terminée, j’ai du laver le carrelage du couloir. En même temps je ne devais pas oublier de préparer le repas de ma Reine. Vers treize heures, le repas était prêt dans la salle à manger. Sur son ordre je devais me tenir à 4 pattes sous la table. Au préalable elle m’avait accroché la laisse à mon collier. Avec impatience, j’ai du attendre son ordre pour pouvoir admirer son entrejambe et le tissu soyeux de sa petite culotte. J’étais très excité et je n’ai pas le droit de me masturber. 

Pour seule nourriture, je devais accepter les restes que Madame n’avait pas dédaigné manger. Elle me les a jetés dans une assiette posée à terre. A la fin du repas, j’ai été détaché et quelques coups de cravache bien placés m’ont rappelé à l’ordre. Ma femme désirant se détendre est allée s’asseoir sur le canapé pour regarder la télévision. Je lui ai préparé son dessert et son café. Pendant ce temps, j’ai débarrassé la table et j’ai filé à la cuisine pour faire la vaisselle. Ensuite, moment extrêmement jouissif pour moi, j’ai du lui laver sa lingerie intime à la main. Pauvre de moi, elle est venue subrepticement contrôler l’avancement de mon travail et elle m’a surpris en train de me masturber en cachette. Folle de rage de lui avoir désobéi, elle m’a emmené à la cave, une cave voûtée qui est froide et humide. Debout, mains menottées et les bras tirés et attachés en arrière, elle m’a administré une centaine de coups de fouet sur tous le corps avec une préférence sadique sur mes parties génitales. Elle a ajouté : « voilà, j’espère que la prochaine fois tu ne recommenceras plus ». Tu vas rester dans cette position et dans le noir, le temps qu’il me plaira, afin que tu puisses méditer sur ta faute ». Je ne sais combien de temps je suis resté dans cette situation, mais j’avais les bras ankylosés et le froid m’a fait grelotter continuellement. Les pinces à poids qu’elles m’avaient appliquées sur les seins et le sexe avant de me laisser dans cette position humiliante, m’ont fait atrocement mal. Pendant tout le temps que je suis resté ainsi, je repensais sans cesse à son entrejambe, à sa tenue sexy, à l’odeur du cuir, à la séance de flagellation qu’elle m’avait infligée comme punition. J’étais à nouveau très excité. Puis j’ai entendu avec un soulagement profond, la porte de la cave s’ouvrir. Je l’ai vu descendre habillée d’un manteau chaud. Cela m’a intrigué un instant. Je ne comprenais pas l’idée qui lui avait germé dans la tête. Elle m’a détaché, enlever les poids et m’a remis la laisse. Elle m’a ordonné de me mettre à genoux. Elle a relevé sa minijupe et m’a ordonné de lui pratiquer un cunnilingus. Après, nous sommes remontés jusqu’à la cour, et là, à 4 pattes ce coup-ci, j’ai du lui baiser la pointe de ses cuissardes. J’ai compris ensuite le port de son manteau, car toujours tenu en laisse et dans un froid de canard, elle m’a forcé à balayer la cour pendant 5 bonnes minutes et sous quelques coups de martinets bien placés. Avant de reprendre mon travail bien au chaud, j’ai pu prendre une bonne douche pour me remettre de mes émotions. 

L’envie de me masturber m’étant passée, j’ai repris le lavage de sa lingerie à la main, en m’appliquant sérieusement. Ensuite, ce fut le lavage des sols de la cuisine, de W.C. de la salle de bains. Après ce travail effectué, ma femme m’a demandé de venir me reposer un peu à ses côtés, je dirais plutôt à ses pieds. Allongé sur le dos, mon corps lui a servi de repose-pied. 

Elle en a profité pour frotter sa semelle sur mon pauvre sexe bandant et enfoncer son talon aiguille par intermittence dans mes testicules. L’autre talon était enfoncé dans ma bouche pour que je puisse le sucer. Le téléphone a sonné, c’était la sœur de ma femme qui voulait prendre de ses nouvelles. Comme si de rien n’était, elles se sont raconté des histoires entre femmes, parler de produits de beauté, de vêtements. Elles ont rigolés ensemble à plusieurs reprises, et pendant ce temps là, ma geôlière m’écrasait le sexe avec encore plus de vigueur. Pour un mâle, c’est très troublant et très humiliant d’être dans cette posture. A la fin de la communication, elle m’a jeté un coup de pied et m’a ordonné d’aller reprendre mes tâches ménagères. Pendant que la lessive tournait dans la machine, j’ai fait les poussières et préparé le dîner pour mon épouse uniquement. Lors du repas, elle m’a annoncé : « comme tu es fou dingue de ma petite lingerie intime, pendant que je regarderais le film ce soir, je te réserve une petite surprise ». Surprise récompense ou surprise punition, mon cœur a battu la chamade. 

Le temps que je débarrasse à nouveau la table, et que je fasse à nouveau la vaisselle, le temps m’a paru une éternité. Elle m’a dit de préparer un plateau et d’y ajouter du gravier. Quelques minutes avant le début du film, elle m’a accroché plusieurs slips et soutien- gorges humides sur mon corps à l’aide pince à linge en bois. Mains menottées dans le dos, j’ai du me mettre à genoux sur les petits graviers, face au mur et contre le radiateur. Plusieurs fois, j’ai demandé l’autorisation à ma tortionnaire, de me relever pour atténuer la douleur, ce qu’elle accepta heureusement. A la fin du film, j’ai du remettre sa lingerie pratiquement sèche sur le sèche linge. Habillée d’une nuisette vaporeuse et avant de se coucher, elle m’a coiffé le visage de son string porté de la journée. Ainsi paré j’ai eu le droit de pouvoir me masturber devant elle et à genoux. Toujours nu, elle m’a enlevé les menottes des chevilles et j’ai pu ainsi aller me coucher avec mon collier d’esclave, toujours autour du cou. J’espère que cette histoire véridique et je vous l’assure, donnera des idées aux nombreuses épouses dominantes. Pour ma part, cette journée fut très fatigante et très douloureuse mais que ne feront pas pauvres soumis que nous sommes, pour faire plaisir à ces Dames, êtres supérieurs.

 

Esclave Frédéric

 

 

 

Réponse Ms.Dana :

 

Merci Frédérique de nous avoir fait partager une journée de votre intimité que je pense réelle par bien des petits détails.


Chaque couple vie la D&s à sa façon, sur sa partition. L'essentiel est que la dominante et le soumis soient heureux et y trouvent leur épanouissement et leur équilibre.


Il y a des descriptions dans ce témoignage qui pourront inspirer d'autres dominantes en manque idées, et Frédérique peut remercier le ciel d'avoir une Maitresse qui s'assume comme telle et qui lui permet de vivre de tels moments, qui sans l'ombre d'un doute lui apporte beaucoup.

RETOUR

Par LO
Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés