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CERCLES de FEMMES

CERCLES de FEMMES Dominantes.

Afin de permettre aux Femmes de se retrouver périodiquement entre amies dominantes, un premier cercle existe dans la Région Parisienne.

Le projet se matérialise, voir ici.

Si vous désirez en creer dans d'autres régions, n'hésitez pas à nous le faire savoir, nous en ferons ici, la publicité pour vous aider à vous retrouver entre dominatrices.

HISTOIRES VRAIES

Samedi 18 mars 6 18 /03 /Mars 18:05

 

De : Chris S 02/03/08 16:59

 

Bonjour,

 

J'aimerais vous apporter mon témoignage sur la domination féminine et l'éducation des garçons. La domination féminine est bien plus que des pratiques sado-maso, comme certains ce plaisent à le décrire.


Je suis né en 1970 et dans ma famille, le pouvoir était détenu par les femmes. Mon père était soumis à ma mère et c'était elle qui décidait des récompenses et des punitions. Mon père pouvait donner son avis, mais c'était elle qui prenait les décisions en dernier ressort. Par son exemple et par discrétion, il me montrait comment  me comporter et quel respect je devais à ma mère, mes sœurs et aux femmes en général.

 

Ma mère a dès mon plus jeune âge, adopté l'adage suivant : "Faites-les pisser assis et porter des robes et ils deviendront doux comme des agneaux". C'était le sous-titre d'un article du magazine 'Elle', qui parlait de l'éducation des garçons selon des théories féministes avancées. Cependant, elle ne m'a jamais présenté le fait de porter des vêtements féminins comme une punition. J'avais trois sœurs aînées et deux cousines et elle me disait simplement : "Nous n'avons pas beaucoup d'argent et ça serait du gaspillage que de t'acheter des vêtements juste pour toi. Il faut donc que tu fasses un effort". Elle a continué à me ternir ce discours jusqu'au jour où j'ai eu moi-même un déclic et commencé à m'intéresser aux poupées et à dire que j'appréciais beaucoup porter des robes. Elle a donc pu abandonner son subterfuge et m'a simplement encouragé à développer ma féminité.
 

Peu à peu, elle m'a expliqué pourquoi il était nécessaire que les garçons changent et abandonnent des siècles de machisme et donnent le pouvoir aux femmes. Je n'ai pu que lui donner raison, ayant moi-même dû subir les quolibets et la méchanceté de petits machos, voyant dans l'affirmation de ma féminité une menace à leur petit pouvoir.

Aujourd'hui, je suis marié et soumis à mon épouse, et père de trois filles, que nous éduquons dans les principes de la suprématie féminine, par l'exemple que nos leur donnons.




 

Réponse Ms.Dana :

 

Chris, merci. Merci pour cet exemple rare du passé. Votre mère était fantastique et vous avez eut beaucoup de chance d'avoir eut de tels parents. Pour moi ils étaient quelque part précurseurs. Tant de personne ne se rendent pas vraiment compte de poids de l'exemple parental et de l'éducation. 

Plus que l'habit, le respect des femmes est pour moi quelque chose de fondamental et qui bien souvent a été oublié par les pères.

Votre mère est donc devenue féministe par réaction, et a agit à son niveau pour changer le monde. Faisons de même.



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Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 18 mars 6 18 /03 /Mars 12:38

Maîtresse E

Je crois en la VRAIE domination et suprématie féminine alors je ne laisse que rarement le monde « vanille » et les yeux du public interférer avec mon mode de vie. Bien sûr, il y a des situations où je ne peux le montrer, mais aussi souvent que je le peux j’entraîne et traite mes esclaves sans tenir compte de l’endroit où nous sommes. Il y a des façons de le faire sans que les autres sachent ce que nous faisons et il y a aussi des manières de faire si je désire que les autres le sachent. Par exemple, je demande toujours à mes esclaves d’ouvrir les portes pour moi, de porter mes sacs, de me présenter les sièges où je m’assieds, et de demander la permission avant de manger au restaurant ou avant de commander un café ou une boisson alcoolisée. Ce sont justes quelques petits trucs. Lisez donc les choses audacieuses que j’ai faites. 
- Dans les premières années de mes 20 ans j’ai giflé un esclave quand je me suis aperçu qu’il avait fait une copie d’une photo de moi à plusieurs reprises sans m’en parler avant de l’amener à développer. J’ai trouvé à ce moment là que je ne pourrais plus me passer de le gifler. Il était le première homme que je giflais (il devrait réaliser à présent quel honneur c’était). Je ne pouvais alors vraiment en profiter car j’étais trop folle de lui mais j’ai remarqué que, quelques jours plus tard, je l’aurais bien giflé de nouveau à la simple pensée de ce qu’il avait fait. La dernière fois que je l’ai fait, j’ai cassé ses lunettes. 
- A 25 ans, un de mes esclaves se comportait mal quand nous nous promenions dans un parc, alors je l’ai trainé vers un fourré. Alors que je le fessais avec une branche et qu’il était penché sur un tronc d’arbre, deux gardes à cheval sont arrivés pour nous regarder ou m’empêcher de continuer. Je ne les avais pas remarqués plus tôt, et je devine qu’ils nous ont vus. Mon esclave remonta son pantalon, se sentant plus qu’embarrassée. A ma grande surprise ils nous dirent juste quelques mots de remontrance et il continuèrent leur chemin. Cet esclave est le premier que j’aie marqué avec une marque de propriété. 
- L’été 1997, lors d’une soirée spéciale dans un bar, où il y avait une danseuse du ventre, j’ai ordonné à mon esclave de l’approcher et de lui demander de lui apprendre à danser. Il n’avait pas du tout envie mais il le fit puisque je lui avais demandé. Il amusa fort le patron avec ses tentatives maladroites.  
- Au camping j’ai attaché un de mes esclaves et lui ai mis du ruban adhésif sur la bouche afin que personne ne puisse l’entendre. Puis je l’ai torturé jusqu'à en avoir assez. Il devait ne faire aucun bruit de peur que quelqu’un vienne ou puisse nous entendre. Quel challenge amusant c’était ! J’ai essayé de le faire crier, mais il tint bon et je fus assez fier de lui.
 - Aux abords d’un lac public j’ai envoyé un bâton pour mon esclave chien dans l’eau plusieurs fois. Il devait nager, l’attraper dans sa bouche et me le rapporter alors que tout le monde regardait.  
- A l’arrière de la voiture qu’un de mes esclaves conduisait, j’ai ôté mes chaussures et les lui ai mises devant la bouche pour qu’il les lèche au feu rouge. Les gens avaient l’air de s’amuser.  
- Mon esclave poney me porta sur ses épaules sur la plage, et je l'obligeai à me porter jusque dans l’eau. Il devait continuer à le faire alors que sa tête était encore sous l’eau, puis il a dû attendre que je quitte doucement ses épaules et m’éloigne de lui, pour avoir le droit de remonter et respirer. (Un de mes jeux favoris). Bien sûr je prends tout mon temps à ces moments-là.  
- Au marché, j’ai ordonné à un de mes esclaves de se mettre a genoux et de m’embrasser les pieds. Nous étions en plein milieu du marché avec plein de gens autour. Il le fit sans se plaindre, et il prit même son temps pour le faire. (Quel bon esclave !). Cela choqua de manière amusante pas mal de gens un peu coincés (je suis certaine que je suis souvent le sujet de conversation lors de pas mal de dîners à présent). 
- J’ai ordonné à un de mes esclaves de m’accompagner dans les toilettes des dames. Il n’y avait personne, et je lui fis boire mon nectar doré dans une des cabines, et avant que nous en ayons fini, une dame entra. Nous avons retenu notre souffle de peur et avons attendu qu’elle se soulage dans la cabine d’à coté. Puis elle partit. Je suis curieuse de savoir si elle nous avait entendus.  
- J’ai monté mon esclave poney sur un chemin forestier puis je l’ai laissé s’enfoncer dans les bois, où il y avait pas mal d’arbres mort au sol. Je les lui ai fait sauter encore et encore et je le frappais sur ses fesses avec ma cravache à chaque fois qu’il passait à ma portée, et il a dû continuer jusqu'à ce que je lui dise d’arrêter. Il manquait d’entraînement ! Il avait l’air épuisé, mais il n’en est pas mort et heureusement, j’en ai encore besoin pour le monter à la maison.  
- J’ai amené un nouvel esclave dans un bar. Je portais ma jupe de cuir noire qui semblait attirer tous les mecs ce soir-là. Un homme m’invita à danser et il n’arrêta pas de me tripoter, alors je lui ai donné un léger coup dans les bourses devant tout le monde. Il a semblé aimer cela car il a continué son petit jeu. J'ai continué à lui donner des coups. Cela dura un certain temps. J’étais étonnée que personne ne nous sorte de la piste de danse, mais je fus plus étonnée encore quand le même homme m’invita à danser plusieurs fois plus tard dans la soirée. Un autre homme me bouscula alors que j’étais assise au bar et renversa un peu de sa boisson sur mes pieds et chaussures. Je lui jetai un coup d’œil méchant et il s’excusa immédiatement, très poliment en utilisant sa chemise pour essuyer mes chaussures et mes pieds. Ses amis se moquèrent de lui, mais le gars fit cela sérieusement et je fus très impressionnée (j’aurais dû prendre son numéro).  
- Durant l’été 2001 je fis l’honneur à un de mes esclaves de lui permettre de m’inviter et me faire assister à un concert. Je l'obligeai à me porter sur ses épaules pendant tout le spectacle et nous eûmes pas mal de regards. Même le groupe musical a fini par nous regarder. Ils ont fini par réaliser que nous avions quelque chose de différent. Cela a même inspiré d’autres couples, mais les autres hommes ne furent pas aussi endurants. Le regard un peu désappointé des femmes quand les hommes devaient les reposer au sol de fatigue avant de s’excuser... C’était bon d’être porté ainsi comme une Reine sur un trône et que cela se passe en public. Pas mal de femmes m’enviaient, et auraient bien aimé que leurs mecs fassent la même chose.  
- En novembre 2001, sur un trottoir d’un quartier résidentiel, un soir, j’ai ordonné à un de mes esclaves de se mettre à 4 pattes et de baiser mes bottes. Il savait qu’il n’avait pas le choix, mais il avait aussi peur d’être aperçu, alors il jeta un coup d’œil autour et il obéit et embrassa mes bottes puis se releva. J’étais satisfaite de cette preuve d’obéissance et de dévotion. Elle ne s’arrêta pas là. Le lendemain, nous étions dans le parking d'un centre commercial et, après qu’il ait ouvert la porte de la voiture pour que je puisse y entrer, il se pencha et baisa mes bas alors que je venais de m’asseoir et que la porte du véhicule était encore ouverte sans même regarder préalablement autour de lui. Tout ce qui comptait pour lui était de me montrer qu’il m’adorait et qu’il était prêt à ce qu’on se moque de lui afin de prouver sa dévotion. J’étais impressionnée. Je me sens toujours fière de ce qu’il fit ce jour.  
- En novembre 2001, je rentrai dans un magasin de chaussures. Alors que j’admirais une paire de bottes, un jeune vendeur d’à peine 20 ans s’approcha et me demanda s'il pouvait m’aider. Je lui ordonnai de m’apporter une paire de bottes que j’avais repérée, de la bonne taille afin que je l’essaye. Il fit très vite. Cela me fit penser à la vidéo que j’avais vue, « la maîtresse de l’esclave de pieds ». Je me souvenais d’une scène similaire et je souris. Alors je m’assis pour les essayer. Il posa la boîte sur le sol a coté de moi et commença à s’éloigner.  Je ne perdis pas une seconde, en pensant « qu’est-ce que j’ai à perdre ? » Le pire est qu’il puisse rire de ma suggestion, avant de trouver un moyen de s’en sortir et de s’éloigner. Alors je tentai le coup et lui demandai avec une voix d’une confiance absolue: « N’allez vous pas me les mettre ? ». Je m’attendais à ce qu’il soit choqué et qu’il dise non. Il hésita un quart de seconde et répondit: « Oui bien sur ». Il se mit donc a genoux, et sortit les bottes de la boite. Il fit tout ce qu’il pu, m’aida à les mettre, à fermer la fermeture éclair puis m’aida à les enlever et eut beaucoup de mal. Je fus très impressionnée quand il alla sans broncher chercher une autre paire et au moment de l’enlever je lui montrai comment faire. Les autres vendeurs remarquèrent ce qu’il faisait, mais les deux vendeuses firent celles qui ne remarquaient rien. Le plus âgé des vendeurs, qui avait la trentaine ne put résister à la tentation: il vint vers nous, regarda mon serviteur et dit d’un air moqueur: « Mais qu’est ce qu’il fait ? » Je lui dis froidement: « regardez bien sinon je vous le fais faire ensuite ! » Un autre vendeur entendit, me sourit et regarda le plus âgé des vendeurs avec un air lui signifiant que je ne plaisantais pas. Alors ils s’éloignèrent tout deux. Après que le jeune vendeur eut enfin réussit à me mettre les bottes, je me levai et allai voir face à un petit miroir. Il essaya de me vendre un sac à main qui selon lui allait avec les bottes, mais je lui dis de l’essayer d'abord sur lui et que, peut-être, je pourrais l’acheter. Alors il joua avec en le jetant sur son épaule. Il me sourit et me demanda à quoi il ressemblait. Il était évident qu’il n'était pas homo, et qu’il faisait juste le mieux possible pour me plaire en tout ce que je lui demandais. Je fus impressionnée par son obéissance et son sans gêne, même en présence des autres vendeurs. A la fin je décidai de les acheter. Je sais que je n’aurais pas désiré acquérir ces bottes si ce jeune vendeur n’avait pas fait tous ces efforts pour me plaire.  Il m’accompagna à la caisse afin que je règle l’achat puis se retira doucement pour laisser les deux vendeuses gérer la vente. Une des vendeuses me demanda avec une expression franche: « Etes vous satisfaites du service ? » Elle attendit ma réponse avec sincérité, elle ne souriait pas, ne se moquait pas et, visiblement, elle ne posait pas la question par habitude comme elle aurait pu la poser à quiconque. Elle agissait comme si j’étais une personne très importante et que mon opinion comptait beaucoup. Je décidai de répondre à la question aussi sincèrement qu’elle l’avait posée. Je fis celle qui réfléchit une seconde puis répondis « Oui ». Les deux femmes furent visiblement soulagées. C’était un moment mémorable. Elles étaient comme deux Déesses qui voulaient être certaines qu’une autre était contente des services de leur esclave. Je les aurais toutes invitées chez moi pour leur montrer un monde qu’elles auraient sans doute apprécié. Mais hélas, je ne le pouvais. J’ai souri et payé. Le jeune vendeur entendit que j’étais satisfaite de ses services, et ne voulut pas que je parte sans me montrer sa gratitude. Il nous rejoint et me pria de parler à son patron de ses efforts. Je lui répondis que je pourrais. Je me retournai pour partir et il ajouta: « S’il vous plait, revenez encore. » Je lui dis que je reviendrai pour une autre paire de botte d’une autre teinte. Il en fut ravi et répondit qu’il l’espérait vraiment. Je partis toute contente de ce que je venais de vivre. J’ai pensé: « Si seulement ils savaient qui je suis ». J’aurai bien mis ce jeune vendeur soumis dans mon sac avec mes bottes pour le ramener chez moi.
Deux semaines plus tard j’y retournai. Le jeune vendeur n’était pas là. Il y en avait un autre et je décidai de m’amuser avec lui. Je lui ordonnai de m’amener une paire de bottes. Tandis que j’essayais les bottes, j’ai dû lever mes jambes en oubliant que je portais une jupe. Le vendeur eut l’air d’avoir besoin de se recomposer, car je notai qu’il avait vu sous ma jupe. Je pris plaisir à le tourmenter ainsi en faisant mine de lutter avec mes bottes. Il ne réalisait pas, bien sûr, l’honneur qu’il avait d’apercevoir mes bas et mes dessous, que seuls mes esclaves peuvent voir, et que cette tenue que je portais était la même qu’un de mes esclaves allait bientôt voir afin de m’adorer. Ce fut quand même mois amusant que la première fois, et je me déterminai à retourner voir mon petit vendeur soumis.

 

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 18 mars 6 18 /03 /Mars 12:11

Chère Domina, Cela fait quelques mois que je domine mon mari et ce style de vie nous a rendu à tous les deux une nouvelle jeunesse amoureuse. Tout se passe comme si nous étions faits depuis toujours pour la domination-soumission, et je n’ai qu’un regret, c’est de n’avoir pas connu cela plus tôt (et en tout premier lieu les sites américain et français d’Elise Sutton), tellement nous y trouvons d’épanouissement.

J’oblige maintenant mon mari à la chasteté, il est totalement privé d’orgasme depuis un mois. Je lui ai acheté une CB d’occasion par correspondance à une Mistress d’Angleterre, dont j’ai trouvé la petite annonce et l’adresse sur Internet. Il me donne des orgasmes à ma guise avec sa langue et ses lèvres, ce qu’il aime d’ailleurs énormément et en quoi il excelle, mais n’a lui-même aucune jouissance par éjaculation. Le plaisir mental semble lui suffire jusqu’à présent.

Franchement je n’ai jamais été aussi heureuse, ni aussi pleinement satisfaite sexuellement.

 

Mais il faut que je vous raconte ce qui vient de m’arriver, que je considère comme un sérieux accroc dans ma domination.

 Dernièrement j’ai invité chez nous une de ses anciennes secrétaires, qui habite près de chez nous, une belle femme sportive d’une cinquantaine d’années. Je suis à peu près sûre qu’elle a été autrefois la maîtresse de mon mari. Nous nous connaissions mais ne nous fréquentions pas. J’ai repris contact avec elle, nous avons papoté quelques fois autour d’une tasse de thé (elle tient un bar-restaurant) et, la complicité et la solidarité féminines aidant, je me suis bientôt sentie suffisamment à l’aise avec elle pour la mettre totalement au courant de mes expériences avec mon mari. Cela semblait vraiment l’exciter ! Mon dessein secret était bien sûr de trouver le moyen d’humilier mon mari en le soumettant en présence d’une tierce personne. J’ai simplement prévenu mon mari qu’une de mes amies venait dîner, et qu’il devait se surpasser à la cuisine et dans le service de table. Il ne savait ni de qui il s’agissait ni ce que serait la soirée. Il était vêtu normalement et portait sa cage. Au jour dit, voici qu’Annick sonne. Jean-Claude va ouvrir la porte, exclamations de part et d’autre, accolades, je prends le bouquet qu’Annick me tend, nous passons au salon, où Jean-Claude nous sert l’apéritif comme un professionnel. Tout se passe bien, j’avais peur d’une réaction imprévue de mon mari, qui devait bien se douter de quelque chose, en voyant son ancienne secrétaire. Mais non, il encaisse le coup… Bientôt nous sommes toutes deux euphoriques, Jean-Claude n’a rien bu, je le lui ai interdit. Il est retourné dans la cuisine, à attendre mes ordres.

Mon invitée me dit à peu près : Quel mari stylé tu as ! Tu en as de la chance ! Il est vraiment toujours comme ça ?

Je lui réponds : Oui, je l’ai éduqué, et d’ailleurs tu vas voir : Jean-Claude, ici !

Il arrive, je lui dis : Jean-Claude, montre ta cage à Annick. Mon mari devient rouge tomate et reste pétrifié. J’enchaîne : tout de suite ! Tu sais ce qui t’attend si tu n’obéis pas !

Il semble être dans un état second, c’est certainement la première fois qu’il est confronté à une situation aussi humiliante. J’ai peur un moment qu’il ne s’évanouisse. Mais non, il défait sa ceinture en tremblant, ouvre la fermeture-éclair de sa braguette et abaisse son pantalon. On devine sa cage à travers son slip. Puis plus rien.

Je dis au bout d’une quinzaine de secondes : Jean-Claude, veux-tu baisser ton slip, qu’Annick voie bien ta cage ? Tu as déjà mérité une punition, n’aggrave pas ton cas ! Annick semble un peu gênée, mais surtout très excitée.

Je lui dis : rends-toi compte par toi-même… Jean-Claude ! Approche-toi d’Annick et baisse ton slip !

Et c’est là que se produit l’imprévu : Jean-Claude éjacule soudain dans son slip, malgré sa CB , spontanément, sans attouchement, sans érection, puisqu’il est encagé ! On voit la tache du sperme sur le tissu. Il ne sait plus où se mettre, il s’assied et se met à pleurer spasmodiquement comme un petit enfant.

(La suite de la soirée fut quand même exquise, avec un soumis exemplaire qui nous a donné une jouissance orale après le repas, à toutes les deux, lui complètement nu et les mains liées derrière le dos).

 

Alors voici ma question : y ai-je été trop fort avec mon mari ?

Est-ce normal qu’un soumis éjacule sans attouchements ?

Dois-je le punir pour cela ?
Que faut-il penser de cela ?

Dois-je adoucir son interdiction d’orgasme ?

Il n’a jamais eu de pollution nocturne, je m’en serais aperçue. Faut-il pratiquer un milking avant une séance de domination ?

Merci à l’avance de votre réponse, que j’attends avec impatience, et de nouveau merci pour m’avoir fait découvrir la domination-soumission.

Yvette

 
Réponse Ms.Dana :
 

Déjà félicitation Yvette pour avoir décidée de vivre notre mode de vie et d’avoir comprit tout ce qu’il apporte comme bonheur. Et puis merci de votre témoignage : Quelle histoire intéressante !.

Elle permet de bien comprendre à travers un exemple concret, que l’essentiel de la domination et de la soumission est mental. Là, par le hasard de la vie qui en l’occurrence vous a offert une opportunité que vous avez eu l’intelligence de saisir, vous avez « croisée » les deux mondes de votre soumis. Celui de son travail et son monde privé.

Vous lui avez prouvé que vous êtes une dominante de talent, capable de le faire progresser dans l’univers de la soumission mentale. C’est très fort et je gage que beaucoup de soumis ont eut se rêve que vous lui avez fait vivre.

Vous craignez d’y « avoir été trop fort », mais je pense que votre mari se souviendra avec bonheur de ce que vous lui avez permis de vivre. Sa réaction ne le prouve t’il pas ?

Pour ce qui est de sa réaction sans attouchement, cela prouve simplement deux choses : Déjà que vous le maintenez à raison dans un état de frustration permanente, et de plus que l’humiliation a été si forte qu’il n’a pu contrôler son plongeons dans le sous espace. C’est la preuve que vous avez touché un levier qui doit être très fort chez lui, celui du besoin d’être humilié. Ne l’oubliez pas et servez vous en pour faire progresser votre relation.

Je ne pense pas qu’il faille le punir là, car il n’a pas fait réellement de faute, et même s’il sait qu’il n’a pas le droit je jouir sans votre autorisation, il vous a quand même très bien servit tout le reste de la soirée. Donc vous pouvez si vous le désirez lui appliquer une punition de principe, pour qu’il n’oublie pas de respecter vos lois, mais sans trop être cruelle, car il ne le mérite pas. Par contre soyez extrêmement dure en cas de récidive et prévenez le !

Enfin pour le milking, c’est à vous d’en juger. Si vous le faites je pencherai plutôt pour que vous le fassiez après la séance, car il doit quand même apprendre à se contrôler.

Ce qui est flagrant ici c’est l’inversion des rôles. C’est ce contraste qui lui a tant parlé.

Pensez que votre invité, au travail, était aux ordres de votre soumis, et que vous lui avez fait comprendre que les femmes ont désormais pour lui une place différente qu’il ne doit jamais oublier. Travail ou pas, elles lui sont en bien des points supérieures et là vous lui avez fait réaliser que sa vie n’était plus la même.

Espérons qu’il n’oublie pas la leçon et qu’il apprenne, s’il ne l’est déjà à respecter les femmes dans son milieu professionnel aussi, et à les traiter avec la plus grande courtoisie, qu’il soit leur responsable hiérarchique ou pas.

Alors profitez de l’aubaine qui vous est offerte pour revoir votre nouvelle amie et à travers vos rencontres de l’initier à ce mode de vie. Pourquoi ne pas chercher à monter un Cercle de Femme dominante avec votre nouvelle amie Annick, vous trouverez aisément une troisième amie … car cela fonctionne comme un aimant un Cercle.

Je vous souhaite de continuer a vivre des choses aussi intéressantes et de progresser toujours sur cette voie.

Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 18 mars 6 18 /03 /Mars 12:07
Bonjour,

Je m’appelle Philippe, et je désirai avoir votre avis sur une relation que je viens de commencer avec une femme qui a beaucoup de caractère !! Je vous cache pas quelle me fait ressortir mes côté soumis ! Cela fait maintenant plus de 3 mois que je suis avec elle. Elle désire me voir tous les jours en Col et cravate, boutonné en gilet ! La cravate doit être serrer fortement et le gilet cintré !, bizarrement depuis que je suis col et cravaté je me sens tenu et dominé mentalement de plus tout les soirs je dois rester en cravate et gilet et être pris avec le god. J’obéis de plus en plus dans mon privé, mais aussi elle est au travail ma patronne et sur le lieu de travail elle est encore plus exigeante concernant mon col de cravate ! Elle va vraiment dans les détails car la cravate doit bouger avec le mouvement du cou ! De plus elle me remonte ma cravate devant tout le monde et boutonne mon gilet s’il n’est pas bien fermer. Est le commencement de ma soumission par le col et la cravate ? (Gilet etc...) Je suis novice ce style de relation mais cela me plais de plus en plus ! Bien à vous

Réponse Ms.Dana :

Voilà une histoire amusante et qui pourrait bien nous donner des idées. Saches Philippe que tu as une chance folle d’avoir trouvé une telle femme, et que si tu aimes la soumission tu risques fort d’être très heureux, surtout si tu travailles aussi pour elle. Combien de soumis t’envieraient cela. Alors ne laisse pas passer une telle chance.

Mes dames, l’idée du col de cravate est non seulement une excellente idée, mais aussi très symbolique. Car entre la cravate et la laisse il y a peu, la cravate offrant l’avantage de pouvoir être portée en tout lieu, et quel plaisir de pouvoir tenir en public son soumis par la cravate ou de le voir devoir supporter par soumission un nœud trop serré. Je crois bien que je vais essayer.

Merci à toi Philippe et remercie pour nous ta maitresse.
Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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Samedi 18 mars 6 18 /03 /Mars 07:25

De Ray C:

Chère Ms.sutton, je voudrai partager ma première expérience fétichiste. Quand je pense

A mon objet de fétichisme, je retourne à l’école maternelle. J’avais 5 ans, mais c’est l’âge où j’ai été imprégné de ce fétichisme. Je ne le cherchais pas, je n’ai rien demandé, mais ce qui arriva est resté de manière permanente. C’est assez courant que la plupart des fétichismes proviennent d’une image ou d’une expérience datant d’un âge reculé de l’enfance. J’ai lu tant de fois cela. Je suis une confirmation vivante de cette théorie.

J’étais toujours assis devant dans la classe, juste devant le bureau de ma maitresse. Trois choses ont contribué à l’apparition de ma tendance au fétichisme. Elle avait un bureau ouvert sur le devant, alors je pouvais voir ses jolies jambes, et elle portait des paires de talons hauts de différentes couleurs chaque jour.  J’étais fasciné par ceux-ci.  Ces talons de couleur et si pointus me parlaient. Elle avait aussi de belles jambes et la combinaison des deux me fît vraiment quelque chose, une impression qui peut être faite à un garçon de cinq ans. En grandissant, j’ai toujours aimé les femmes portant de hauts talons tout comme ceux de ma maitresse de maternel. C’est clairement elle qui m’a donnée ce penchant très tôt en ma vie.

Plus tard mes parents et mes connaissances ne surent rien de mon fétichisme ou de cette imprégnation sexuelle. Mais leur disais quelle était la couleur des chaussures.

Pour moi … les chaussures qu’elle portait à la maternelle sont quelque chose que je recherche. Je pense et pensait que la maternel est génial ! La mémoire reste vivace. Le bureau ouvert, ces charmantes jambes, la fascination de ces talons hauts, jours après jours. La couleur changeante, ses jambes se croisant et décroisant, quand elle lisait ou nous faisait mettre notre tête sur nos petits bureaux pour nous reposer. La tête baissée ? Pas moi !  C’était là où je profitais le plus de la vue. J’adorai regarder ces talons.

Je me demande si son bureau qui isolait ses jambes du haut de son corps, ne m’a pas condamné à ce fétichisme pour jamais. Mais avais-je le choix. J’aurai pu observer le haut de son corps, ou autre chose. J’ai choisis la forme des jambes avec des talons hauts.

Que se serait’ il passé si son bureau n’était pas ouvert sur le devant ? Aurais-je développé un fétichisme différent ou aucun ? Mais son bureau était ouvert, ses jambes étaient belles, et les talons hauts qu’elle portait m’excite toujours autant ce jour, sur des femmes différentes, certes, mais sont entrées ou ont traversé ma vie.

 

Réponse d’Elise :

 

Les formes sexuelles féminines forment la nature soumise des mâles dès le plus jeune âge, simplement parce que les femmes sont des femmes. Je suis certaine que la dernière chose à laquelle pensait votre maitresse à l’école maternelle, était l’influence que pouvait avoir ses talons haut sur la sexualité de ses élèves masculins. Elle était surement concernée par la formation de votre esprit et par l’éducation qu’elle vous enseignait. Mais grande est l’influence du pouvoir sexuelle d’une femme sur l’esprit des petits garçons. Ses chaussures sont surement la seule chose dont vous vous souvenez précisément de votre expérience à l’école maternelle.

Est-ce que votre maîtresse cherchait à séduire ses petits écoliers en portant des talons hauts ? Surement pas, elle cherchait simplement à être élégante.

Mais qui a crée cette mode ? Probablement des hommes à travers l’expression artistique de leur nature soumise. Les hommes créent la mode qui met en valeur la sexualité des femmes. Ainsi le cycle continue et grandit, les hommes créant des chaussures sexy, que les jeunes femmes portent pour être dans le vent, et que voient les petits garçons et qui attise ainsi leur nature soumise et aide à développer leur sexualité.

Votre maitresse d’école représentait une image d’autorité féminine. Elle était le chef. Elle vous avait en charge quand vous étiez dans sa classe. Sa position sociale et son activité la mettaient dans le rôle dominant. Votre age et votre position vous plaçaient dans un rôle de soumission. Cela ajoute un élément supplémentaire à l’aspect sexuel de votre attirance vers elle. Oui, vous trouvez les chaussures sexy, mais ne pensez vous pas que c’est le fait qu’une femme en position d’autorité les porte, ajoute quelque chose d’essentiel à ces chaussures ?

Vous étiez juste un petit garçon normal, inondé du pouvoir sexuel de la femme. Vous n’aviez  aucune idée du pourquoi vous trouviez ces jambes et ces chaussures si excitantes. Vous  étiez à l’âge de l’innocence et c’est pour cela que vos parents ont trouvés cela mignon que vous vous souveniez des couleurs des chaussures de la maitresse. Ils n’avait pas idée de ce qui commençait à se développer dans votre tête ou que vous auriez l’eternel fantasme d’une femme portant des talons hauts, ou que vous grandiriez pour devenir un homme voulant être dominé par les femmes en talon haut ou bien même que vous verriez ce genre de chaussure comme des objets sexuels.

Non, vous étiez innocent et c’est cela là beauté de l’enfance. Nous commençons tous innocents, mais à un certain moment, la société ne pense plus à ces pensées si naturelles comme étant innocentes, et les catégorises comme perverties. Et c’est très dommage car au fond, vous êtes encore innocent, et votre désir d’être protégé par une femme aimante et autoritaire n’est pas différent. Vous êtes toujours fasciné par la sexualité de la femme et vous voulez vous soumettre à elle.

La société, la religion et le gouvernement essayent de nous ôter toute innocence à un certain moment. C’est assez mal vu pour un homme de regarder ouvertement les pieds d’une femme portant des talons hauts, d’adorer la femme plus ouvertement que dans ses pensées, ou de vouloir être humilié par une femme. C’est aux pieds d’une femme que tant d’hommes veulent être. Etre aux pieds d’une femme c’est être humilié. Les talons hauts apportent la sexualité à cette place du soumis.

Alors là où vous étiez, en présence de votre première maitresse, pouvant voir ses talons hauts et ses pieds, aucun doute que cela a touché votre nature soumise. Vous étiez simplement un garçon et vous étiez innocent. Puissiez vous ne jamais perdre cette innocence dans vos rapports avec les femmes.

Merci d’avoir partagé votre histoire.

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Par LO - Publié dans : HISTOIRES VRAIES
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